Mexique, 13 sep (EFE).-la Conférence latino-américaine des politiques sur les médicaments commence aujourd’hui au Mexique afin de trouver des solutions de rechange à la stratégie actuelle pour « vers une interdiction de régulation », Efe, a déclaré l’organisateurs.
C’est une des principal consensus des gens de divers organismes impliqués dans la troisième édition de ce Congrès, qui va durer jusqu’au matin. L’autre, la question des médicaments est traité comme un problème de santé publique et non quelque chose criminel.
« Nous devons travailler sur une politique contre la drogue en proposant une alternative réglementaire qui actuellement a, » il a dit Efe Elsa Conde, membre du collectif avec une politique d’intégrale vis-à-vis de médicaments (Cupihd), une des associations qui organise cet événement pour la première fois au Mexique.
« Nous devons traiter avec tout ce qui concerne le marché avec une politique différente de réglementer la production, la culture et la consommation, » il dit et a ajouté qu’une politique de lutte contre la violence qui « n’a pas résolu le problème » a été utilisée au Mexique depuis 2006.
Durant ces deux jours, plus de 300 experts américains, les représentants des organisations non gouvernementales, les législateurs, les politiciens et les drogues ont montré leurs alternatives et s’appuiera sur leurs expériences.
« Politiques actuelles n’ont pas travaillé. » « Dans le monde ont porté principalement à essayer de réduire l’offre de drogues illicites avec très peu d’attention à la demande », a déclaré Coletta moins, conseiller principal du Bureau à Washington pour les affaires latino-américaines (WOLA).
C’est pourquoi il doit y avoir plus de politiques qui adresse la prévention et le traitement des personnes atteintes de problèmes résultant de la drogue.
Pour moins, l’un des principaux problèmes est que les lois latins anti-drogues ont tendance à traiter les personnes impliquées dans la chaîne des médicaments par tout aussi.
« C’est un petit vendeur dans la rue comme un trafiquant de drogue et qui fait que nous avons rempli les prisons de gens avec des infractions mineures, » explique.
Dans le même sens proféré María Paula Romo, membre d’équatorien, est arrivé au Mexique pour présenter le cas de son pays, où, ledit 40 pour cent des prisonniers est en prison pour des délits de petites drogues, données beaucoup plus appel s’il y a 80 %, les femmes
« Ne sont pas têtes d’affiches, mais qu’ils sont utilisés pour le transport de petites quantités, » il dit Efe et souligne que le cas de l’Équateur « sert à illustrer ce qui se passe dans d’autres endroits, que bien qu’ils augmentent ceux emprisonnement, ne pas réduire les hectares cultivés et il y a moins de circulation et moins de consommation ».
Avis de moins, une autre erreur est que le nombre de pays ont dédié à l’éradication des cultures par la force et les agriculteurs en prison lors de la politique de réduction unique qui a travaillé est celle de la « développement intégral et durable dans les zones productrices de pavot ou de coca ».
L’un des participants qui croit également de ces politiques est sables Peter, maire de la San José del Guaviare, qui, avec ses 65 000 habitants, est l’une des premières municipalités de Colombie hectares plantés avec coca, environ 5 000.
« Ne partagent pas les programmes de notre gouvernement central de l’éradication forcée qui ont mené à des centaines de paysans en prison, » dit.
« Il a été démontré que l’investissement dans le développement rural Oui get out de la plantation de coca, familles, agricoles » ajouté.
à la Conférence a également participé aux consommateurs comme Luiz Paulo Guanabara, fondateur de la Inpud (réseau international de personnes qui consomment des drogues), de demander d’arrêter est une discrimination et à marginaliser les consommateurs de substances interdites.
« Je suis une personne et j’ai mes droits ». « Nous voulons la dépénalisation de la consommation et la dépénalisation de l’utilisateur », il a noté. EFE