Phnom Penh, 30 nov (EFE).-Équateur nettoyé à 70 000 mètres carrés de mines terrestres au cours de la dernière année, sept fois plus que prévu initialement, a annoncé aujourd’hui sa délégation à la réunion de la Convention d’Ottawa étant tenue à Phnom Penh.

Le conseiller du service extérieur de l’Équateur, Veronica Aguilar, a déclaré que le but initial de nettoyer 10.150 mètres carrés a pu surmonter avec l’introduction de la machinerie dans certaines zones touchées.

“Jusqu’à 2013 fera déminage dans le sud de Loja et Zamora, qui peut entrer avec des machines”, dit-il, Aguilar, a toutefois averti que dans d’autres domaines, les tâches sera plus chers.

« Notre productivité faible lorsque nous sommes entrés dans la forêt et effacer manuellement dans des conditions climatiques très difficiles, » ajouté.

Équateur prévu désactiver les plus de 16 000 mines antipersonnel qui sont enterrés depuis 1995 à la frontière avec le Pérou dEl Oro, provinces côtières de Loja andine et l’Amazonie de Morona-Santiago, Pastaza et Zamora Chinchipe.

L’Équateur a rejoint la Convention d’Ottawa en octobre 1999 et en 2008 remporte un prolongement de huit ans pour les dix initialement donnant le traité pour nettoyer la mine le pays et éliminer l’arsenal de ces explosifs.

Cette réunion à Phnom Penh a commencé lundi avec l’aide de plus de cent pays responsables d’examiner les progrès accomplis dans le Plan d’action de Carthagène et s’achèvera vendredi.

La Convention d’Ottawa, qui régit l’utilisation, la stockage, la production, la vente et la destruction des mines antipersonnel, est entrée en vigueur en 1999, dans le but que le monde était libre de ces artefacts en 2009.

Il a été ratifié par 158 pays, dont 153 ont confirmé qu’ils n’avaient déjà pas les dispositifs stockées.

Les gouvernements non signataires comprennent la Chine, Inde, Russie, États-Unis, Israël, Maroc, Cuba ou Singapour.

Image du fichier (18/02/99) de deux équatorien militaire stockant des mines antipersonnel ont été désactivé pendant le déminage le long de la frontière avec le Pérou. EFE/fichier