Au Mexique, le 3 décembre (EFE).-le gouvernement du Venezuela a accepté de s’associer avec la société mexicaine Gruma, le plus grand fabricant mondial de farine de maïs, de créer des deux sociétés, qui met fin aux intentions des Vénézuéliens nationaliser à une filiale de cette société, il était signalé aujourd’hui le Mexique présidence.
L’annonce a été faite dans le cadre d’une réunion tenue le vendredi, les présidents du Mexique, Felipe Calderón et du Venezuela, Hugo Chavez, a déclaré l’unité dans un énoncé.
La société et le gouvernement vénézuélien, être associée à la formation d’une société “dédié à la production et la commercialisation des pre-toasted farine de maïs et le riz emballé,” et autres “production et commercialisation de farine de blé, de pâtes, de l’avoine, entre autres,” il a souligné l’exécutif mexicain.
L’institution ne pas précisée comment divise le gouvernement vénézuélien et actionnaire de contrôle Gruma des nouvelles entreprises.
La création des deux sociétés servira à « l’approvisionnement de nourriture dans le marché vénézuélien et la volonté profitent directement aux consommateurs dans le pays andins », a tenu la présidence.
Lors de sa rencontre avec Chavez que ces actions par le gouvernement vénézuélien « contribuera à une plus grande sécurité juridique qui favorisera d’entreprises mexicaines à renouveler leur intérêt à faire des affaires avec le Venezuela », a déclaré le président mexicain.
Venezuela évaluée à partir de juillet 2010 la proposition de Gruma créer une coentreprise pour éviter l’expropriation des opérations de sa filiale Monaca en territoire vénézuélien.
Le vénézuélien autorités avaient été ordonnées en peut de l’année dernière la nationalisation de Monaca, un producteur de farine de blé, farine de maïs, riz de pâtes, huile et l’avoine, parmi d’autres denrées alimentaires considérés comme base.
Cette entreprise possède au Venezuela avec six usines et était contrôlée par Gruma avec 72,86 % des actions, tout en 24,14 % appartenaient au banquier vénézuélien Ricardo Fernández.
Chavez a soutenu à l’époque que l’expropriation de Monaca était nécessaire pour lutter contre le « manque » et « inférieure » aliments frais Basic.
L’annonce vient après le passé 1er décembre une autre compagnie de ciment mexicain Cemex, compagnie a conclu une entente avec le gouvernement vénézuélien afin que les autorités de ce pays paiera $ 360 millions par 75,7 % de sa filiale au Venezuela, après un processus controversé de nationalisation.
En outre, la Convention prévoit l’annulation de 154 millions de dollars dans les comptes à payer des filiales de la société à Cemex au Venezuela.
« Calderón reconnu le président Chávez pour sa gestion à parvenir à une solution définitive aux problèmes auxquels étaient confrontés à Cemex et Gruma au Venezuela », conclut la note. EFE