Valence, 14 ( EUROPA PRESS)

Del Consell Valencià de Col.legis de produits pharmaceutiques et des associations d’entreprises pharmaceutiques de la Communauté de Valence (Confar) a décidé de convoquer des assemblées extraordinaires pour ensuite jeudi, qui sera décidé ce que des mesures seront prises pour la situation « insoutenable » devant les bureaux de pharmacies par les retards dans les paiements de la Generalitat.

Des représentants de cette entité ont rencontré mardi le ministre de la santé, Luis Rosado, dans une rencontre qui « n’ont pas proposées des solutions à la situation de non paiement de chiffre d’affaires de décembre » et a « été réaffirmé que ce mois est versé à la fin de février », comme indiqué dans une déclaration faite par Confar.

Le Conseil des pharmaciens considère « inacceptable », qu’il n’y a aucune liquidité, lorsque encore envers les bureaux des prescriptions pharmaceutiques délivrées entre le 1er octobre. Par conséquent, a critiqué que ces établissements “sont condamnés à une situation de ruine », puisque, comme vous l’avez expliqué, envers eux, les mois d’octobre, novembre et décembre, ce qui équivaut, avec leurs intérêts, plus de 387 millions d’euros et « n’ont pas la même liquidité qu’au mois d’octobre, qui par défaut sont prolonger dans le temps ».

Bureaux de pharmacie, comme elle a obtenu « ont épuisé déjà la limite de sa dette dans les institutions bancaires et leurs fournisseurs. » À cet égard, a souligné que, si l’on considère que les pharmacies ont dispensé ordonnances dans le mois de janvier et au milieu de février, le nombre total de prise en charge par des pharmaciens s’élevait à près de 360 millions d’euros » et les récentes déclarations de responsables de l’Administration sur davantage de retards dans la collection ne prédisent pas une solution rapide au problème «.

Les collèges des pharmaciens ont appelé extraordinaires et de membres d’assemblées urgent pour jeudi prochain pour l’informer de la situation très grave et discuter des actions possibles et les alternatives à prendre pour faire face à la prévisible l’effondrement de la fourniture de produits pharmaceutique.