Genève, le 15 février (EFE).-une famille de satellites « nettoyeurs » de Swiss sera responsable de la suppression de morceaux de ferraille spatiale en orbite autour de la terre et constituent une menace pour les satellites et engins spatiaux, qui peut entrer en collision.

La École Polytechnique Fédérale de Lausanne (Suisse) a annoncé aujourd’hui le lancement de la première desorbitadores de satellites, la CleanSpaceOne, qui a pour but de lancer une série de spécialement conçu pour les satellites de cet objet dans l’espace au cours des trois prochaines années.

Au moins de 16 000 objets de plus de dix centimètres de diamètre et des centaines de millions de petites particules orbitant à une vitesse de vertige autour de la terre dans de nombreux cas de dépôt dans l’histoire des satellites artificiels ou des navires de l’espace et menace l’intégrité physique.

Galactique de ces débris sont surtout de gros restes de fusées, de satellites vieux déjà en désuétude ou éléments de l’actif de l’espace, comme les taches de poussière ou de morceaux de peinture.

L’abordage d’un vaisseau spatial ou d’un satellite avec ces déchets peut être graves et coûteux à réparer les dommages, ainsi que la génération de plusieurs fragments qui s’accumulent autour de la terre sous forme de débris.

Astronaute et professeur de l’école polytechnique fédérale de Lausanne Claude Nicollier a prétendu qu’il fallait « être attentif » aux débris spatiaux par les risques encourus et leur prolifération.

Le processus à travers lesquels ces ordures de desorbitarán espace balayeurs commence avec le lancement de satellites entre 630 et 750 kilomètres de hauteur pour ci-dessous, aller s’approcher de l’orbite de la cible que vous souhaitez supprimer grâce à un moteur ultra compact.

à une vitesse de 28 000 kilomètres à l’heure, le CleanSpaneOne va atteindre l’objectif de sa mission et embrasser avec une sorte de crochet, inspirée dans l’étau des mécanismes animale et végétale.

Une fois Unis le satellite plus propre et le morceau d’ordures, la première utilisera son moteur pour lancer en compagnie de l’autre vers l’atmosphère terrestre où, à entrer en contact avec les gaz qui se forment, généralement deux artefacts à des températures supérieures à 1 000 degrés centigrades.

Le coût approximatif de la fabrication et l’espace voyages de ces satellites sera 10 millions de francs (8,3 milliards d’euros).

La première victime de la CleanSpaceOne sera l’un des deux premiers objets mis sur orbite par la Suisse : le Swisscube (lancé en 2009) ou Tlsat (juillet 2010).

Bien que le premier prototype de le CleanSpaceOne est destiné à être détruit, le directeur du Centre spatial Suisse, Volker Gass, dit que le but du projet est « offrir et vendre une famille de satellites pour descarburar différents types de satellites ».

« Agences spatiales commencent à envisager l’élimination des déchets d’équipements qui envoient à l’espace requis et nous voulons être les pionniers dans ce domaine, a déclaré. EFE

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