Genève, 16 fév (EFE).-l’Organisation mondiale de la santé (OMS) réunion aujourd’hui à Genève pour les scientifiques qui analysera les études récentes sur le virus de la grippe aviaire (H5N1) et discuter si c’est nécessaire ou souhaitable de les publier, étant donné le danger possible qui sont utilisés à des fins de recherche non.
Lors de la réunion, qui seront les deux derniers jours, scientifiques impliqués de deux douzaines de pays Australie, États-Unis, France, Grande-Bretagne et Holland et asiatiques comme la Chine, l’Indonésie, au Japon et au Viet Nam, touchés par ce virus.
Au milieu de décembre de l’année dernière savait que 38 scientifiques des universités, Érasme de Rotterdam (Pays-Bas) et le Wisconsin (États-Unis), dirigée par le virologiste néerlandais Ron Fouchier, avaient découvert cinq mutations génétiques que le virus H5N1 peut souffrir de son infection chez les personnes.
L’objectif de l’étude néerlandaise, qui a été financé par l’Institut National de la santé américaine, a cherché à obtenir l’information nécessaire pour prévenir une possible pandémie causée par cette variante de la grippe.
De le faire, s’efforcent de créer le vaccin qui protégerait contre les nouvelles souches.
Scientifiques étaient sur le point de publier leurs résultats dans les revues Nature et Science, mais ils ont été amenés à faire de la sorte par la santé, les autorités des États-Unis, qui craignait que, si le public partage cette connaissance, ils pourraient éventuellement être utilisé par des terroristes pour créer un ont.
Habituellement, le virus H5N1 se transmet entre volaille et sa transmission à l’homme se produit rarement, donc la transmission entre les gens puisse être très meurtriers.
En fait, chaque fois qu’il se réfère à H5N1, qui rappelle que le virus est potentiellement très dangereux parce que, bien que généralement ne pas contaminés personnes, lorsqu’il le fait, il tue 60 % des personnes infectées.
Après la controverse, le 30 décembre qui a mis en garde contre le risque de faire des recherches sur le virus de la grippe, sinon applique des normes élevées et recommandations adoptées par ce corps et plus de 20 jours plus tard, a décidé de convoquer la réunion qui commence aujourd’hui.
Alors que les scientifiques n’ont pas pas seulement publiés les résultats, qui ont imposé un moratoire sur 60 jours, en qui ne se poursuivra pas aux enquêtes, en attente de la communauté scientifique à s’entendre sur la façon de procéder à l’avenir. EFE