La vente de médicaments d’Andalousie est clairement contraire à la Constitution.
CEOFA qui a demandé à l’égard de la constitutionnalité.
Andalousie, février 2012. La modification de la Loi de pharmacie andalouse, à introduire des enchères de médicaments, envahit les compétences exclusives de l’État et modifie l’accès andalous, droit de la médecine sur un pied d’égalité avec le reste de l’Espagne.
Les bureaux de pharmacie Business Confederation d’Andalousie (CEOFA) lui a déjà averti en mai 2011, lorsque le SAS a tenté d’établir le système de ventes aux enchères à travers le concert avec les pharmaciens : ne peut pas offrir les médicaments ou au moyen d’ententes ou de normes régionales. Les mêmes conclusions ont été atteint lorsque la Junta de Andalucía essayer de manipuler comme un décret, comme a été démontré par le cabinet d’avocats de Enterría Garcia dans son avis de juillet 2011.
Maintenant, adopté comme décret législatif, est arrivé à des conclusions identiques à ses avis d’inconstitutionnalité, disant que les articles régissant la vente aux enchères de médicaments manque de validité ayant été adopté ce décret-loi en violation de l’article 149,1 seizième de la Constitution, qui attribue à la compétence exclusive de l’état de légiférer sur les produits pharmaceutiques ” ; et que viole l’article 38 de la Constitution d’influer sur la liberté d’entreprise et de limiter la libre concurrence démesurément ”.
Sur la base de ce qui précède, le patron CEOFA pharmaceutique a demandé le gouvernement de l’État qui utilisent toutes les actions d’inconstitutionnalité, comme seule option pour assurer l’équité et la cohésion du système national de santé, sans discrimination contre les patients sur leur lieu de résidence.
De CEOFA de vouloir aussi, n’oubliez pas que la Loi prévoit la possibilité d’engager le dialogue entre l’Etat et la communauté autonome afin d’éliminer les défauts de l’inconstitutionnalité.