Genève, 23 février (EFE).-un groupe d’ONG, y compris les Médecins sans Frontières et Oxfam International, a appelé aujourd’hui pour les actionnaires de la pharmaceutique Novartis, qui met fin au processus judiciaire en Inde et dont l’objectif est de mettre fin à une mesure de protection qui, en pratique, permet de produire des médicaments génériques.

Précisément, Novartis veut de brevet en Inde le Glivec, un médicament qui empêche le développement d’un type rare de leucémie, tentative à ce jour a été refusé trois fois par la Justice du sous-continent.

La pharmaceutique suisse a interjeté appel devant la Cour suprême indienne et s’attend à ce que le jugement est connu à la mi-mars.

Droit indien des brevets, qui a été modifiée en 2005 dans le respect des règles de l’Organisation mondiale du commerce, établi par l’intérêt de la santé publique la suit d’un brevet, qui est accordé seulement pour les médicaments qui s’avèrent pour être une importante innovation.

Las ONG considèrent que le but ultime de Novartis n’est pas breveter le Glivec, mais affaiblissent la clause de sauvegarde qui, en pratique, permet de produire des médicaments génériques.

« Novartis agit comme un cheval de Troie pour attaquer la clause de sauvegarde Indian Law, à faire breveter à l’avenir les changements de n’importe quel type de médicaments existants. » « Sa victoire en justice profitera de toutes les sociétés pharmaceutiques multinationales au détriment des millions de patients dans le monde, » avertit le communiqué de l’ONG.

« Dans les pays en développement, des millions de personnes ont génériques d’avoir accès à des médicaments abordables. » Actionnaires de Novartis devraient interroger la tentative de la rupture de la compagnie de ce système. « Exhortent les investisseurs à demander à la direction de Novartis à abandonner le processus », ajoute.

Les médicaments génériques

fabriquées en Inde représentent 80 % des médicaments utilisés par les Médecins sans Frontières pour traiter les 170 000 personnes dans 19 pays. EFE