Lisbonne, 27 février ( EFE).-le Ministère de la santé du Portugal a assuré aujourd’hui qu’il y n’aura aucun interruption dans le traitement des médecins actuels ou futur appliquée à la santé du service National ( SNS), malgré le fait que la pharmaceutique compagnie Roche a décidé de suspendre les ventes à crédit à l’hôpital public 23 dans le pays.
« The NHS trouveront des solutions de rechange, même avec les autres distributeurs, » de dire aujourd’hui dans une déclaration du ministère, dont le propriétaire est Paulo Macedo.
Centres médicaux publics continuera d’offrir, « toujours à être justifiée », des médicaments de Roche, conformément à la déclaration.
a en outre, la société pharmaceutique signalé aujourd’hui une note au Portugal, dans lequel il exprime son intention de suspendre les prêts aux 23 hôpitaux dans le réseau public portugais avec des arriérés dans le paiement des dettes dépassant 500 jours.
La Suisse multinationale, dont la principale zone de Portugal est oncologie, rappelle que les centres NHS lui devait plus de 135 millions d’euros – hormis les intérêts de retard au prix d’environ 6 millions de dollars – et ont un retard moyen de 420 jours.
Company, qui a justifié la décision par la mise en œuvre d’une nouvelle politique commerciale, a souligné que, dans certains cas, ils dépassent les 1 000 jours « en violation manifeste de la période de paiement de 60 jours » et a fait observer qu’elle s’assurera la vente de médicaments uniquement aux unités qui respectent les paiements dans le temps.
Le ministère de la santé luso a affirmé que l’industrie pharmaceutique ont bénéficié des « années » de centaines de millions d’euros de bénéfices grâce à la NHS, considéré alors comme l’attitude de la société « répréhensible ».
« Encore plus à une hauteur que le pays est en situation de grande dette et un effort historique pour surmonter la crise financière”, ajoute le ministère, qui a veillé à ce que les médicaments seront payés « à temps ».
L’en décembre dernier, l’industrie pharmaceutique portugais quantifié à 1,2 milliard d’euros de la dette due par les hôpitaux publics du pays et de spécifié que la période de remboursement moyen s’élevait à 450 jours.
La situation financière de la santé publique portugaise est l’une des principales préoccupations du gouvernement portugais, qui devrait considérablement réduire son déficit en échange de la réception de l’ensemble d’un prêt de EUR 78 000 millions en mai dernier par l’Union européenne (UE) et le Fonds monétaire International (FMI).
Pour nettoyer le secteur, l’exécutif conservateur portugais déjà monté plus que doubles taux portugais aux utilisateurs de payer pour la santé publique, dans le but de soulever environ 100 millions d’euros.
Selon les données officielles, le ministère de la santé jusqu’à septembre 2011 accumulé environ 2,4 milliards d’euros de la dette avec les arriérés de plus de 90 jours, environ la moitié du total des engagements de l’État portugais dans cette période. EFE