BUENOS AIRES (AFP) – l’ Argentine plus haut La Cour de Justice a déclaré mardi que l’ interruption d’une grossesse résultant d’une violation n’est pas punissable, ce qui indique que les juges ne peuvent pas entraver sa pratique ni les médecins participant à lui d’être exposés à des sanctions.

La Cour suprême a évoqué un cas où l’avortement était déjà pratiqué, mais a indiqué que sa décision était nécessaire pour établir un guide pour la solution de futurs incidents où les victimes d’une violation doivent faire face un plusieurs fois retardé le processus judiciaire autoriser les interventions.

La décision clarifiée une loi de 1922, interprétée par les juges comme permettant aux avortements que les cas de grossesses par viol sur les femmes ayant des problèmes de santé mentale.

Pour ce faire, la Cour a déclaré que « il joue du code criminel en disant que l’interruption de la grossesse de tout type de violation n’est pas punissable et qu’aucun cas de l’avortement non punissable n’est pas soumis à un processus judiciaire », selon un communiqué de l’organisme.

L’avortement est illégal dans la plupart des pays d’Amérique latine, où vit près de la moitié des catholiques dans le monde, bien que beaucoup permettent la procédure dans les cas de viol.

De Cuba et du Guyana de l’avortement n’est pas juridique.

Dans sa décision, la Cour suprême a également appelé les autorités à mettre en œuvre des protocoles de l’hôpital pour éliminer tous les obstacles à l’accès aux services médicaux traitant de l’avortement non punissable.

Décision a déjà conduit à un débat dans le pays.

Le président de la LPC d’Argentine Conférence épiscopale, Mgr José María Arancedo, dit que l’avortement « est l’enlèvement d’une vie innocente, et il n’y a aucune raison ou raison qui puisse justifier l’élimination d’une vie innocente, même dans le cas malheureux et triste d’une violation ».

(Rapport de Guido Nejamkis/Hilary Burke, édité par Patricia Avila)