Saragosse, 15 (EUROPA PRESS)
Le gouvernement d’Aragon, par le ministère de la santé, la protection sociale et la famille, a créé un groupe de travail avec le Collège des médecins et l’ordre des infirmiers pour commencer le développement de la Loi des droits et des garanties de la dignité de l’individu dans le processus de la mort.
Le conseiller de l’aide sociale, la santé et la famille d’Aragon, Ricardo Oliván, a expliqué que, « une fois établi le droit nous devons, comme l’administration, développer et appliquer en collaboration avec les intervenants ».
Le ministère de la santé a expliqué dans un communiqué de presse que, parmi le contenu de la « clé » qui va au travail, est le « idéal de la mort digne » dans le droit des patients de recevoir des soins palliatifs intégrales de soins de haute qualité. « Ce concept vise à respecter l’autonomie du patient et à humaniser le processus de la mort, » ont souligné les sources.
, Le groupe de travail a aussi comme l’un de ses objectifs l’élaboration d’un protocole pour faciliter ceux en situation de terminale qui souhaitent librement « la possibilité d’entrer dans la mort sans souffrance, en paix, comme une expression de respect de la dignité de l’être humain ».
Travaillera également avec une attention particulière au rôle des centres de santé afin de faciliter l’accompagnement de la famille et de s’assurer une assistance adéquate, y compris le traitement de la douleur, des conseils, des soins palliatifs de qualité et soutien et soutien émotionnel à la famille de la personne en situation de terminale.
Dans la législation en vigueur » est déjà la déclaration des directives de soins avancés, où la personne, conscient et librement exprime les options écrites et des instructions qui doivent être respectées pour recevoir la santé soin et la destination de l’organisme ou de ses organes et de tissus ».
En outre, le ministère de la santé, du bien-être Social et de famille travaille dans la réglementation des comités d’éthique de soins de santé et à la création de la Commission bioéthique d’Aragon et de jeudi s’est réuni pour la sixième fois depuis janvier le groupe d’experts mis sur pied pour élaborer la proposition de décret.
Participation était « fondamentale » pour l’élaboration du projet de texte et que ce groupe d’experts a différents profils professionnels et sociaux tels que les représentants de la Commission de l’éthique et la recherche d’Aragon et l’Espagne, Comité de bioéthique, le coordonnateur régional des transplantations d’organes et de tissus, de médecins et d’infirmières.
En outre, participation de professionnels en soins palliatifs, soins de santé primaires, gériatrie, équipes de soutien des soins à domicile, directeurs des autre établissements de santé, des représentants de l’Université de Saragosse, un expert en droit de la santé publique, un sociologue, un teólogo-humanista et un citoyen représentant par les patients Forum.
L’achèvement du projet de décret est prévue pendant la première moitié de 2012, tout comme le début de la procédure administrative qui comprend le traitement de l’auditoire pour les ministères du gouvernement de l’Aragon, organismes professionnels, Conseil d’Aragon, syndicats, employeurs, associations et citoyens santé.
Envoi au Conseil de gouvernement et après son adoption, la publication au bulletin officiel de Aragón (BOA) aura lieu au cours de la seconde moitié de l’année.