Séoul, 16 mars ( EFE).- la Corée du Sud a aujourd’hui condamné l’annonce de la Corée du Nord, du lancement d’un satellite en avril prochain et a déclaré que si Pyongyang à mener une telle action réputée lui « un grave acte de provocation ».

« Si Corée du Nord a lancé un satellite d’observation, il sera un sérieux acte de provocation contre la paix et la stabilité dans la péninsule de Corée et l’ Asie du nord-est, a indiqué le Ministère sud-coréen étrangers dans une déclaration publiée par l’agence locale Yonhap.

Le ministère des affaires étrangères à Séoul, qui exclut ont annoncé des mesures à des fins exclusivement pacifiques, comme défendre à Pyongyang, a soutenu que le lancement de la Corée du Nord violerait la résolution 1718 du Conseil de sécurité des Nations Unies, qui interdit le pays communiste à nucléaires de l’ONU et les tests de missiles balistiques.

Le ministère des affaires étrangères du sud coréen, qui interprète que le lancement est couvert jusqu’à un essai de missiles balistiques à longue portée, a exigé le régime communiste « immédiatement arrêter un tel acte de provocation et se conformer à leurs obligations internationales ».

, Corée du Nord avait déjà annoncé aujourd’hui par le biais de son Agence de presse d’État KCNA qui lancera le satellite d’observation de la terre Kwangmyongsong-3 grâce à une fusée à longue distance dans l’espace en avril pour célébrer le centenaire de la naissance du fondateur du pays, Kim Il-sung, le 15e jour du mois suivant.

Pyongyang a promis de respecter les normes internationales sur le lancement de la science et la technologie des satellites à des fins pacifiques et d’assurer une transparence maximale.

Cependant, un lancement similaire en 2009 a déjà coûté la critique de la Corée du Nord d’une grande partie de la communauté internationale et l’ONU à travers une déclaration présidentielle condamne.

En outre, l’annonce de la Corée du Nord pourrait conditionner l’engagement de son gouvernement a atteint à la fin février avec EE. UU., s’est engagé à livrer les 240 000 tonnes d’aide aux pays asiatique pour modifier temporairement suspendre leurs programmes nucléaires et missiles. EFE