Montevideo, 18 mars (EFE).-deux infirmières uruguayens sont détenues comme auteurs présumés de « dizaines » de décès dans les centres de soins intensifs (CTI) d’un sanatorium et un hôpital de la capitale de l’Uruguay, a confirmé aujourd’hui la police et des sources judiciaires.
Hommes, âgés de 36 et 49 et professionnel longue carrière, n’avait apparemment aucune relation entre lui-même et les arrêts ont découvert après quelques décès considérée comme douteuses.
Les assassinats lors cardiaque hôpital Maciel, dépendant de l’État, l’unité et l’ICT neurochirurgicaux de la première Association espagnole d’entraide, l’un du plus réputé mutualiste pays.
Après une enquête de la police de deux mois à rassemblé des preuves d’incriminer les infirmières de la mort de plusieurs patients hospitalisés.
Infirmières lié décès douteux sont « dizaines » a dit le juge de l’affaire, Rolando Vomero, qui conduit à des médias des.
Sources de la police a estimé pourraient être cinquante personnes tués par combinaison de médicaments ou d’autres procédures, apparemment les deux années qui agissaient infirmières.
Au cours de police interrogeant détenus argumenté « raisons humanitaires » pour justifier leur action.
Une femme, aussi infirmière et compagnon de précédents, est également détenu mais n’aurait aucun rapport avec crimes.
Le ministère de la santé publique les autorités n’ont pas fait des déclarations et l’affaire est analysée par le ministre Jorge Venegas et leurs collaborateurs.