Berlin, 17 mars (EFE).-l’île du Groenland, le plus grand terrain et situé dans le nord de l’océan Atlantique, a perdu entre 2002 et 2011, une masse de glace équivalent à 240 gigatonnes, a déclaré aujourd’hui le Centre d’études géologiques (GFZ) à Potsdam, près de Berlin.

Après rappelant un gigatonelada équivaut à un milliard de tonnes, le GFZ a souligné que la masse de glace fondue au Groenland a entraîné une hausse du niveau des eaux de 0,7 mm par an.

Techniciens allemands a souligné que la mesure des effets du changement climatique au Groenland a été possible grâce à la mission Grace réalisé par satellites jumeaux Tom et Jerry, que dix ans en orbite autour de notre planète.

Ces mission satellites Grace (Gravity Recovery and Climate Experiment) offrent des données « haute précision » qui a révélé, entre autres choses, une image pour l’instant pas atteint de la gravité de la terre sur la base de la Loi de Newton.

Frank Fletchner, scientifique de la GFZ, a expliqué que “à l’époque qui modifie la masse de glace du Groenland, changement aussi l’attraction de la terre à cet endroit ».

Tom et Jerry satellites ont donné beaucoup plus de 55 000 obus de notre planète à une altitude qui varie entre 450 et 500 kilomètres, collecte de données sur une base permanente.

La Mission Grace est un projet de la NASA d’Agence spatiale américaine et le Centre allemand pour l’aviation et l’espace voyages, pour lesquels le GFZ effectue la planification et l’évaluation des données recueillies.

Le projet est prioritaire visant à mesurer la gravité de la terre et ses altérations temporaires avec une précision et une régularité mensuelle.

« Bon nombre des processus climatiques, les événements de notre planète sont accompagnés par les eaux dans l’espace des mouvements qui peuvent être vérifiés dans le champ gravitationnel », a souligné Fletchner.

Enfin,

a commenté que Tom et Jerry ont doublé le temps prévu pour sa mission et que, par Noël de 2016 se joindra les projet deux nouveaux satellites pour étudier le changement climatique. EFE