Montevideo, 28 mar ( EFE).-les travailleurs de l’ Hôpital de Maciel de Montevideo, où l’ infirmière Marcelo Pereira assassiné au moins cinq patients admis à l’ unité de soins intensifs, est aujourd’hui venu exprimer sa résiliation pour ces crimes, considéré comme « un événement isolé ».
Pour la première fois depuis la semaine dernière, savait que la détention de Pereira et une autre infirmière, Ariel Acevedo, accusé de la mort de dix patients à l’hôpital de l’Association espagnole, travailleurs de la Maciel est venu d’évaluer ce qui est arrivé et a pris pour protester contre les conditions de travail.
. Le porte-parole des infirmières de l’hôpital, Gustavo Gianre, lire une déclaration à l’entrée de l’hôpital qui a exprimé sa « profonde solidarité avec les familles concernées » et a rappelé que ce qui est arrivé » a rien à voir avec la profession des soins infirmiers, où la vie et la valeur humaine sont prioritaires ».
« Avait besoin de communiquer tout ce qui nous a mal cette situation et le spectacle que nous sommes pour la vie, au-delà de tout ce qui s’est passé. » « Nous continuons de travailler et nos patients sont admis, » a dit Gianre médias.
Travailleurs a indiqué que, au-delà de ces événements, les employés de la Maciel sont plusieurs mois demandant davantage de ressources humaines et matérielles pour répondre à leur travail et pour les utilisateurs d’avoir « des soins sûrs, responsables et efficaces » leur légitime.
Gianre insiste sur le fait que, précisément à cause de sa responsabilité, employés ont continué à travailler ces jours malgré la situation difficile dans laquelle ils étaient, et pourquoi les utilisateurs, que les premiers jours après le scandale se méfiaient des infirmières et infirmiers « étant donné que nous sommes avec eux ».
« Nous considérons que méfiance a été facilité, personnes ont vu ici fonctionne bien, travailler honnêtement, pas dans les meilleures conditions, mais montrant le courage des collègues introduit le travail avant, » a indiqué.
Vue de la façade de l’hôpital de Maciel à Montevideo (Uruguay). EFE/fichier