Washington, 30 mars ( EFE).-le président des États-Unis, Barack Obama, aujourd’hui défend sa réforme la santé comme un exemple du « changement » qu’il avait promis avant d’arriver à la maison blanche, mais a gardé le silence sur les audiences de cette semaine devant la Cour suprême pour déterminer la constitutionnalité de la Loi.

« Le changement est la réforme des soins de santé que nous avons adopté après plus d’un siècle de tentatives, » a déclaré Obama au cours d’un rassemblement devant des centaines de supporters à l’Université du Vermont, Burlington.

Une telle réforme, votée par le Congrès et promulguée par le Obama en 2010, affirme que les États-Unis.UU. « personne n’ira à la faillite à être malade, » a souligné le président de la tournée électorale aujourd’hui dans les États du Vermont et du Maine en vue de l’élection le 6 novembre.

Fait également remarquer que « quelque 2,5 millions de jeunes ont maintenant d’assurance-maladie » et que « des millions d’Américains âgés paient moins pour leurs médicaments ».

, Obama pas fait aucune référence à des audiences tenues entre lundi et mercredi de la Cour suprême sur la constitutionnalité de sa réforme, appelée la Loi sur les soins de santé abordable.

26 États, la plupart des républicains, ont déposé des poursuites contre la Loi, le plus calomniée par l’opposition et la plus grande réalisation du mandat du Obama.

Audiences de cette semaine ont démontré que la Division de vues au sein de la Cour suprême, où cinq des juges ont été nommés par des présidents républicains et les quatre restants par les démocrates, pourrait mettre en danger tout ou partie de la réforme, le plus grand système de santé en un demi siècle.

Le point plus controversé de la Loi est qui établit l’obligation pour toutes les personnes aux États-Unis.UU. assurance santé de 2014 ou payer une amende pour ne pas avoir.

Pour le de républicains à que la clause est contraire à la Constitution, et son objectif est donc de la suprême rendre une décision d’inconstitutionnalité sur le droit ou, en leur absence, aucune de ses parties.

Le gouvernement, pour sa part, s’appuie sur connue comme la clause de Commerce, contenue dans la Magna Carta et qu’elle donne la capacité de Congrès à réglementer les activités commerciales à l’étranger et entre les États du pays.

Le dilemme est l’interprétation de cette clause, comme adversaires de la réforme soutiennent que la Constitution donne pouvoir de Congrès à réglementer le commerce, mais ne pas de « force » les gens d’entrer dans ce métier, en l’espèce par le recrutement de l’assurance-santé.

Suprême devrait rendre sa décision en juin et une opinion contre la constitutionnalité de la loi serait un coup dur pour Obama en face de leurs options de réélection en novembre.

La maison blanche a été confiée en ce que la réforme va être approuvée par la Cour suprême et a insisté qu’elle n’a aucun « plan B ». EFE