Londres, 6 avr (EFE).-les parasites du paludisme augmente progressivement sa résistance au médicament couramment utilisé dans le monde entier pour lutter contre ses effets, basés sur la plante chinoise Artemisia annua, aujourd’hui publie la revue médicale « The Lancet ».

Magazine contient une étude montrant que le plasmodium parasite, qui est transmis par les moustiques, a augmenté sa résistance aux traitements de l’artémisinine à la frontière entre la Thaïlande et la Birmanie.

Ce domaine est de plus de 800 kilomètres d’une autre, au Cambodge, où a également détecté que la réduction de l’efficacité de la réparation, ce qui indiquerait que les souches qui sont résistants à ce se répandent.

Chercheurs de l’unité de recherche Shoklo le paludisme, en Thaïlande, mesuré à l’époque de zone frontière qui ont pris des médicaments à base d’artémisinine pour éliminer des parasites du paludisme 3 000 patients du débit sanguin.

Sur une période de neuf ans, de 2001 à 2010, a conclu que ces médicaments sont moins efficaces, et le nombre de patients présentant des signes de résistance ont augmenté de 20 pour 100.

Les experts avertissent que si cette résistance s’étend de l’Asie du sud-est et est également transférée à l’Afrique subsaharienne, où la majorité des cas de paludisme surviennent la situation serait grave, car qui réduirait les chances de guérir la maladie qui puisse proliférer.

Standwell Nkhoma du professeur Texas Biomedical Research Institute, également partie de l’étude, a déclaré que, si la perte de l’artémisinine, le traitement recommandé par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), « aucun autres médicaments en vue de remplacer ».

« Pourrait aller retour de 15 ans, lorsque des cas de paludisme ont été très difficiles à traiter en raison de l’absence de médicaments efficaces, » dit.

Selon le dernier rapport mondial sur le paludisme, certains 655 000 morts de maladie 2010 – plus d’un par minute-, surtout les enfants et les femmes enceintes. EFE