Washington, 5 avr (EFE).-le gouvernement des États-Unis a forcé aujourd’hui de reconnaître, par écrit, que les tribunaux fédéraux ont le pouvoir d’abroger les lois qui violent la Constitution du pays.
Est une clarification nécessaire après certaines déclarations controversées par le président Barack Obama qui semble mettre en doute la légitimité de la Cour du suprême « élus » juges d’examiner et éventuellement abrogeant, réforme de la santé 2010.
Un panel de trois juges de la Cour d’appel cinquième, basé à la Nouvelle-Orléans, Louisiane, avait donné à terme jusqu’à aujourd’hui que le ministère de la Justice a expliqué sa position officielle et de reconnaître le rôle du contrôle judiciaire.
Le procureur général des États-Unis.UU., Eric Holder, aujourd’hui avait respecté l’échéance et, dans une lettre adressée à la Cour, a réaffirmé l’autorité de la justice fédéral.
« Le pouvoir des tribunaux de contrôler la constitutionnalité des lois est incontestable, » dit titulaire dans la lettre.
La controverse entre l’exécutif et le tribunal a été générée après que lundi dernier, le président Obama a déclaré qu’il était persuadé que la Cour suprême ne prendrait pas l’étape « extraordinaire et sans précédent d’abroger une loi approuvée par une majorité forte dans un congrès élu démocratiquement ».
Était la première fois que le président américain a été publiquement silencieux sur la question devant la Cour suprême, et qui, selon les observateurs, aura un impact dans les urnes en novembre.
Vos commentaires a déclenché un flot de critiques les politiciens conservateurs et des experts juridiques, qui a interprété comme une tentative d’influencer l’opinion qui délivrera la Cour suprême en juin prochain sur la constitutionnalité de la réforme des soins de santé.
Critiques de la réforme de la santé a souligné que la Cour suprême a abrogé lois inconstitutionnelles depuis 1803 au moins, dans l’affaire dite « Marbury v. Madison ».
Mais le mercredi, le porte-parole de la maison blanche, Jay Carney, a expliqué que, dans les dernières années 85 de son histoire, la Cour suprême a respecté l’autorité des lois pass Congrès « régissant les questions d’importance économique nationale comme les soins de santé ».
Entre autres choses, la réforme des soins de santé, adoptée le 23 mars 2010, nécessite l’achat d’une assurance santé pour tous les Américains à partir de 2014, sous peine de portant sur le paiement d’une amende.
En général, la majorité des républicains et des alliés de groupes conservateurs considère que la réforme des soins de santé est une interférence coûteuse par le gouvernement fédéral sur les droits individuels, tandis que les groupes de progressif Court s’assure que la législation pourrait faciliter la couverture médicale universelle et réduire les coûts de la santé, parmi d’autres avantages.
Selon les observateurs, l’opinion de la Cour suprême, que ce soit, aura un impact direct lors des élections du 6 novembre, dans laquelle Obama joue la réélection. EFE