new YORK (Reuters santé) – une meta-analyse révèle que le

ventilation à pression positive intermittente au début utiliser

(NIPPV,_por_sus_siglas_en_inglés) au lieu de pression positive

continue nasale (PPCn, en anglais) chez les nouveau-nés prématurés avec

Syndrome de détresse respiratoire (SDR) empêche l’utilisation de

ventilation mécanique invasive dans les 72 premières heures de la vie.

Jucille Meneses, de l’Institut de l’équipe de médecine

Intégrale professeur Fernando Figueira, Recife, Brésil, publie

Archives de pédiatrie et des résultats chez les adolescents

Médecine.

« Minimiser le besoin de ventilation mécanique invasive chez les

»

les premières heures de vie est importante pour réduire le risque

«

(BPD) la dysplasie broncho-pulmonaire et autres maladies concomitantes »,

écrit l’équipe de.

Les auteurs reconnaissent que l’utilisation de la PPCn réduit

significativement l’incidence de la DBP chez les bébés

les nouveau-nés prématurés présentant un SDR, mais veiller à ce que la stratégie ne le fait pas

dernières envahissantes, la VPPIN, a plus d’avantages et de plus en plus

plus utilisés dans les unités néonatales de soins intensifs de le

monde.

L’équipe a examiné la documentation et identifié trois études

importants sur certains 360 bébés. Les résultats ont révélé un

une réduction significative de l’utilisation de la ventilation invasive chez les

premières 72 heures de vie chez les enfants traités avec la VPPIN versus

le groupe traités par VPPCN (RR = 0, 60).

Et bien que le risque relatif de la DBP était de 0,56, la

différence n’était pas statistiquement significative.

Dans la discussion des résultats, l’équipe souligne que

la VPPIN également empêche l’échec de l’extubation et réduit

le nombre des apnées.

Même si ils disent qu’il est « possible » que la VPPIN réduit plus de

Épisodes de la PPCn de BPD dans une thérapie intensive, conclure

que « grandes études sur les bébés sont nécessaires

»

plus vulnérable sous traitement pour des périodes plus chez le nouveau-né prématuré

prolongée afin d’évaluer la relative des deux avantages

«

stratégies ventilatoires ».

Source : Archives de pédiatrie et de médecine des adolescents,

2

Avril 2012 en ligne