la Haye, 29 fév (EFE).-un neurologue néerlandais publié cette semaine dans les enfants « Pédiatrie » de journal avec un spina bifida ne souffrent pas tellement que j’ai pensé jusqu’à maintenant, qui a ouvert un débat aux Pays-Bas sur la légitimité de l’application de l’euthanasie pour les nouveau-nés avec cette malformation.

Le journal « De Volkskrant » souligne aujourd’hui le dilemme de la nouvelle théorie peut faire pour les parents dont les bébés avec un spina bifida était pratiquaient l’euthanasie possible.

Un père avec qu’expérience explique dans le journal cité qui ne fait aucun doute dans n’importe quel moment de la décision, surtout parce que dans le cas de son fils la malformation était une zone haute de la colonne vertébrale, augmentant le risque de développer une déficience.

Neurologue Rob de Jong a étudié un échantillon de 28 bébés avec un spina bifida, le degré de souffrance de bébés, concluant que, dans la pratique, ils ont la douleur modérée qui peut être atténuée avec un simple acétaminophène.

Ces allégué des niveaux élevés de souffrances ont conduit dans le passé à pratiquer l’euthanasie à deux douzaines de bébés à l’hôpital de Groningen (Hollande-septentrionale).

Le choc qui a déclenché la connaissance de ces pratiques en 2008 a conduit l’hôpital cité de mettre en œuvre un protocole strict dans de tels cas, qui, entre autres choses, objet de tests rigoureux pour déterminer le degré de souffrance de bébés avec ce mal.

Holland inclus en 2007 sur la sécurité sociale l’échographie de 20 semaines de grossesse, ce qui peut être détectée si le fœtus a le spina bifida.

Selon

« De Volkskrant », entre 70 et 90 pour cent des cas, les parents optent pour l’avortement si elle est détectée la maladie chez le fœtus, à ce stade de la grossesse, ce qui a considérablement réduit le nombre de nouveaux-nés avec un spina bifida aux Pays-Bas. EFE