Bogota, 13 feb (EFE).-un faux médecin trompé avec documentation erronée à l’Institut National de médecine légale et de sciences judiciaires de la Colombie, où il a travaillé au cours des 10 dernières années, il a été aujourd’hui rejeté et banni pendant 20 ans à exercer des fonctions publiques.
Le chef du contrôle interne de la médecine légale, José Guillermo Mateus, dit journalistes que la mesure de couverture au faux médecin et psychiatre, Camilo Herrera, qui, lorsqu’il a étudié beaucoup, deux semestres de la médecine dans une université où a été retirée par la faible performance de.
« Engagé un très sérieux manque d’engager par erreur à la justice depuis 10 ans », a expliqué Mateus, qui avait remarqué que Herrera aurait émis certaines opinions 1 800 qui auraient influencé les arrêts de la Cour qui maintenant chancelé.
« L’Institut effectue une étape de la révision, cas-par-cas, à informer les autorités de fait et de prendre des mesures et des actions en justice, » a déclaré le directeur de la médecine légale, Carlos Eduardo Valdés.
Le titulaire de la médecine légale a ajouté que le Bureau du procureur est maintenant responsable du développement de l’enquête criminelle contre le faux médecin, qui ne sait pas où il se trouvait, bien qu’il a vécu à Bogota.
Le Bureau a également ouvert un fichier contre Herrera, qui a servi comme un psychiatre légiste dans les cas où il est entré à l’Institut National de la médecine.
Deposed aujourd’hui a été démis de ses fonctions il y a deux semaines après un processus disciplinaire et plaintes de vrais professionnels.
« C’est un fait regrettable que nous touche profondément, mais la citoyenneté doit être comprise que nous sommes beaucoup plus que ce gars et nous avons une grande responsabilité, » dit Valdés.
Expliqué qu’après les plaintes des psychiatres a examiné la documentation et on compte qui présentait « graves défaillances et corroborer avec les établissements d’enseignement, on a découvert que c’était faux ».
S’attend à ce que les avocats du condamné exige de soumettre des personnes parce que les peritazgos faux psychiatre ont été pris en compte dans le processus. EFE