BUENOS AIRES, 13 mars (Reuters) – la plus haute Cour de

La justice Argentine a déclaré mardi que l’ interruption d’un

grossesse causée par une atteinte n’est pas punissable, ce qui indique que

les juges ne peuvent pas entraver sa pratique ou de la

médecins participant à lui d’être exposés à des sanctions.

La Cour suprême a mentionné un cas dans lequel la

l’avortement a été pratiqué, mais a indiqué que sa déclaration était

nécessaire d’établir un guide pour l’établissement des contrats à terme

incidents où les victimes d’une violation doivent faire face un

plusieurs fois retardée processus judiciaire autoriser la

interventions.

La décision précise une loi de 1922, interprété par

juges comme permettant l’avortement qu’en cas de

grossesses par viol sur les femmes ayant des problèmes de santé mentale.

Du pour faire, la Cour a déclaré que « a joué le Code pénal

»

dire que l’interruption de grossesse n’est pas punissable

de toutes sortes, de viol et que toute affaire de

«

l’avortement non punissable n’est pas soumise à une procédure judiciaire “,

selon un communiqué de l’organisme.

L’avortement est illégal dans la plupart des pays

Latine où américain, vit autour de la moitié de la

Population catholique dans le monde, bien que beaucoup permettent la

procédure dans les cas de viol.

De Cuba et du Guyana de l’avortement n’est pas juridique.

Dans sa décision, la Cour suprême appelée à

autorités à mettre en œuvre des protocoles de l’hôpital que supprimer

tous les obstacles à l’accès aux services médicaux

rencontrer l’avortement non punissable.

Il a aussi indiqué que les hôpitaux devrait avoir un système de

pour permettre à la santé les travailleurs exercent leur droit à l’objection

de conscience qui retarde sans que cela conduira à

se livrer à l’attention du service requérant.

L’Église catholique a exprimé son rejet de toute forme de

l’avortement.

Le président de la Conférence épiscopale de l’Argentine,

Mgr José María Arancedo, dit que l’avortement » est le

»

Suppression d’une vie innocente, et il n’y a aucune raison ou

motif qui justifie l’élimination d’une vie innocente, ou

«

même dans le cas malheureux et triste de viol ».