Addictions aux substances cause des dommages cerveau.

II Congrès International double pathologie, comportement de dépendance et autres troubles mentaux.

Barcelone, octobre 2011.- La Conférence magistrale sur le cerveau qui a enseigné le Dr Nora Volkow, directeur du NIDA (National Institute Drug Abuse) vendredi dernier à la pathologie II International Congress of double qui s’est tenue à Barcelone, a été justifié avec scientifique étudie les dommages subis par le cerveau à la suite de la consommation de drogues et donc, addiction. La plasticité du cerveau de jeunes adolescents est qu’ils chercheront une maladie mentale tout au long de sa vie et dommages au cerveau du moment auquel commencer à essayer, médicaments, dommages qui peuvent être retracées au moyen de techniques de neuro-imagerie. Il y a des facteurs environnementaux qui agissent comme des protecteurs ainsi que vulnérabilité facteurs qui conduisent à certains sujets exposés aux toxicomanes de médicaments devenus.

Aussi, Volkow a souligné que certains facteurs de stress sociales et héritée des facteurs de vulnérabilité biologique qui déterminent la possibilité de prendre des médicaments. On accuse également une initiation précoce dans les œuvres de la drogue à une addiction subséquente. En revanche, certains troubles mentaux sont également des facteurs de risque qu’ils coopèrent à l’incidence de la drogue, comme l’abandon pendant l’enfance, ce qui diminue la connectivité du cerveau et la maîtrise de soi chez les enfants, elle prédit d’une certaine manière, sa santé mentale. Personnes souffrant de troubles mentaux, il est moins capacité de maîtrise de soi qui contribue à installer ou à maintenir des toxicomanies.

el Dr Szerman, président de la société espagnole de pathologie Dual, organisant des corps du Congrès, a fait remarquer que les troubles mentaux sont troubles de développement neurobiologique plutôt que la dégénérescence. de même, l’affirmation que toutes les substances de l’abus sont jumelés avec un système endogène et il a donc été soutenuun déficit dans l’un de ces systèmes pourrait affecter la toxicomanie.