avances dans le conservatisme de l’Espagne tout en droits de la femme sexuelle recul
Espagne, mars 2012.- sur la Journée internationale de la femme, le groupe de l’égalité entre les sexes et le VIH dans le réseau communautaire sur le sida de l’État espagnol (REDVIH) veut mettre en évidence que les décisions prises sur la Loi de l’avortement et de la santé sexuelle et reproductive de la grossesse, ainsi que les obstacles à dispenser un enseignement sur la sexualité dans les écoles, ils violent les droits sexuels et plus ouverte à l’écart des inégalités entre les sexes.
est maternité le droit reproduction le plus important pour toutes les femmes et à toutes les étapes de sa vie, comme on peut voir des mots du ministre de la Justice, Alberto Ruiz Gallardon? est volontaire interruption de grossesse loi il y a 30 ans est le meilleur choix pour les appel de la décision de mettre fin à une grossesse? est l’autorisation de ? les pères et les mères afin que les élèves peuvent participer à une campagne de promotion de la santé sexuelle et prévenir les infections de transmission sexuelle dans la communauté de Madrid, est un pas en avant dans la prévention du VIH et des grossesses non désirées ? ou est que 21e siècle les femmes vont en arrière dans nos droits alors qu’ils avancent des discours conservateurs sur le terrain de la sexualité ?
À l’occasion de la Journée internationale des femmes, 8 mars, le groupe de l’égalité entre les sexes et le VIH dans le réseau communautaire sur le sida de l’État espagnol (REDVIH) veut mettre en lumière le public et le gouvernement que les décisions prises sur la Loi sur la santé sexuelle et reproductive et d’interruption volontaire de grossesseainsi que les obstacles à dispenser un enseignement sur la sexualité dans une manière scientifique et éthique dans les écoles, entre autres décisions, ils violent les droits sexuels et plus ouverte à l’écart des inégalités entre les sexes. Très seront bientôt publics concernés et la santé des femmes socialement les a placés sur une échelle inférieure.
Dans ces dernières décennies ont parcouru un long chemin dans le domaine des droits sexuels et génésiques. L’éducation sexuelle continue d’être nécessaire dans une société où le nombre d’infections sexuellement transmissibles augmente ”, explique Charles Savoie, porte-parole du groupe des REDVIH genre.
En Espagne plus de 150 000 personnes vivant avec le VIH, selon les dernières statistiques du ministère de la santé, dont 25 % sont des femmes, tandis que dans l’ensemble, plus de la moitié de la population mondiale vivant avec le VIH sont des femmes. Une plus grande vulnérabilité biologique de l’infection à VIH associée à des rôles spécifiques qui déterminent le comportement et les rôles joués par les hommes et les femmes à l’égard de la sexualité, limitant l’accès à l’information ainsi que le manque d’outils de prévention conçu spécifiquement pour les femmes, telles que les microbicides vaginaux en cours de développement, sont quelques-uns des facteurs socio-économiques-culturels qui ont favorisé cette féminisation de la pandémie.
Avec tous ces discours rétrogrades, qui, au lieu de défendre les droits des femmes, continuent à exposer des situations d’inégalité et de violation des droits, peut vraiment dire que nous sommes une société qui se déplace ? Ou au contraire, nous avons mis l’accent sur les leçons apprises, les progrès de la science et permettre à une minorité de la société impose que les femmes restent les régions moins favorisées de la protection de la santé? ”, s’interroge le porte-parole de ce groupe, formé par les personnes et les professionnels qui travaillent directement et quotidiennement avec la citoyenneté dans la prévention et aux soins du VIH.
Les femmes, la santé et les inégalités entre les sexes, le VIH
En plus d’inégalités entre les sexes dans la santé des femmes, déjà, nous savons qu’ils existent et qu’elles traduisent par exemple en l’absence de médicaments spécifiques pour les femmes par le VIH, ou un bas leurs propres soins de santé en faveur de leur rôle de soignants, nous sommes préoccupés que discours conservateurs sur la santé génésique des femmes traduites en lois qui portent atteinte aux droits de femmes ”, points de Savoie, qui ajoute : retour à la Loi sur l’avortement de l’année 1985 que le ministère de la Justice a annoncé que représente non seulement une violation des droits des femmes, qui sont voient refuser la possibilité de décider de sa propre grossesse, mais élimine également la promotion de l’éducation sur la sexualitéfondamental dans la prévention des grossesses non désirées et des infections sexuellement transmissibles, ”.
En chiffres, l’actuelle Loi sur l’avortement qui est entré en vigueur en 2010, n’a pas mené à une augmentation en cas d’interruption volontaire de grossesse. Au contraire, cette nouvelle Loi prévoit précisément l’inclusion de l’éducation sexuelle dans l’enseignement primaire et secondaire, ainsi que la garantie de l’accès universel à des méthodes de contraception, deux éléments qui, contrairement à la législation restrictive sur l’avortement, favorisent la réduction des interruptions volontaires de grossesse ainsi que de nouvelles infections transmises sexuellement. Donc, le groupe du genre de REDVIH, exhorte une fois de plus au gouvernement de maintenir et d’étendre les droits des femmes par le biais de décisions politiques responsables et consensuelles de la citoyenneté.
Aussi ce jour-là, le genre de groupe REDVIH, comme à d’autres occasions, lance à travers les réseaux sociaux une affiche à faire prendre conscience de la nécessité de défendre les droits sexuels des femmes, leur santé, leur bien-être.