Conguimi ( Équateur), 14 mars ( EFE).- bassins d’eau et le mercure sont l’héritage de l’exploitation minière illégale dans la région amazonienne de l’Équateur, où les pelles sans permis continuent leur destruction dans la recherche d’or, tandis que le gouvernement tente de récupérer une partie de ces zones des accords avec les collectivités locales.

Dans le petit village de Conguimi, l’ethnicité shuar et perdue dans la Cordillère du Condor, qui est un joyau vert de la province de l’Amazonie équatorienne de Zamora-Chinchipe, le gouvernement scellé pozas toxique avec un jaune ruban cet avertissement de leur danger.

a ouvert des excavatrices de forer dans le sol, où l’eau, laissant les mineurs porte il y même pour laver l’or avec mercure, selon Fernando Luna, l’ingénieur environnement de la préfecture de Zamora Chinchipe.

Près de là, dans un brickpit en Wawintza, Efe a pu observer comment environ dix machines ont été la terre à la recherche d’or, dans une région intégrée au milieu de la nature majestueuse et entouré par plusieurs cours d’eau.

Est une opération illégale, selon les habitants de la région, dans laquelle les embrayages de bulldozers forés de terre sans la contemplation et viennent à changer le cours du fleuve.

Moon a expliqué que souvent les propriétaires fonciers conclure des accords afin que l’excaven de mineurs, leurs fermes, mais cette activité pollue l’eau et la terre même.

Le gouvernement effectué les opérations contre les exploitations illégales, dans le même temps à développer l’exploitation minière à grande échelle, accorder des concessions à la multinationale avec des technologies qui réduisent les incidences environnementales, dit.

Toutefois, les autochtones et les groupes environnementaux sont opposés à cette stratégie, et ce rejet manifeste par une marche a commencé à Zamora-Chinchipe le 8 mars et qui arrivent à Quito 22.

D’autre part, la compagnie minière nationale, de l’Équateur (ENAMI) a conclu des ententes avec des organisations locales pour restaurer les zones endommagées par l’exploitation minière illégale.

L’un d’entre eux est l’Association de Kurinunka de Kenkuim, avec 63 membres, ils rétablir quelque 400 hectares de Conguimi et ses environs, et puis ils pratiquaient « opérations minières à petite échelle » à l’environnement, selon son Manager, Alipio Joaquin Wajari.

La ENAMI a signé des accords similaires avec un total de 3 000 habitants de la province, selon le Wajari.

« Tout d’abord nous allons aborder le liquide vital, ce qui est de l’eau, qui est mélangé avec le mercure, le diesel et autres produits, » a déclaré Wajari, qui a ajouté qu’ils recueillera ensuite le mercure du sol et reforestarán la région de.

Expliqué à la fin du mois, s’attendre à commencer ses opérations, une fois en février ils ont signé avec le gouvernement un accord indéfiniment et l’exclusivité de l’exploitation, lorsque « rencontrer le contrat » récupérer les terres et l’exploitation écologiquement responsable pratique.

« Nous sommes ici, nous allons vivre ici la vie de nos enfants et de nos enfants aussi, nous devons traiter la terre autant que nous le pouvons, » a souligné.

Le directeur de l’école de Conguime, Domingo Ankuash, a raconté que l’exploitation artisanale était pratiquée il y dix ans, mais en 2010 le gouvernement lui interdit et confisqué les bulldozers de mineurs.

« L’État considéré qu’avaient été irresponsable et illégal minière, » note.

Ankuash a déclaré qu’au départ les mineurs parvenu à un accord avec les communautés pour reboiser la région alors qu’ils exploitent son, mais en fin de compte ils ont été expulsés par la force par la police.

« Toutes les piscines sont les ruines qui ont été laissés avec la présence de l’État et des mineurs, a.

à son avis, l’État devra être « réglementé et récupéré les terres » d’abord et ensuite ont demandé les mineurs qui ont été, » mais n’était pas, simplement expulsés eux et n’ont pas retrouvés ».

Bien qu’il reconnaisse que minier génère des travaux, a rappelé qu’avant qu’elle avait « une atmosphère agréable et un bel espace ». Ankuash a donc demandé le soutien du gouvernement pour promouvoir le tourisme dans la région, qui est « l’un des moyens qui peuvent fournir de survie et le bien-être de la société ».

« Restaurer la terre et offre (…) » « ce qui est notre coutume, gastronomie et les rites qui nous faisons shuar nationalité », affirmait-il. EFE

ins/cma/wm