Sydney (Australie), 5 sep (EFE).-le Secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-moon, reconnu aujourd’hui, devant les habitants des îles du Pacifique qui vont disparaître sous la mer par le changement climatique, il n’y a pas de solutions à court terme mais promis de poursuivre le combat pour eux dans les tribunes internationales.

« C’est triste à dire, mais peut-être corriger toute percée dans les négociations à court terme est peu probable, que » il a dit à Kiribati, lors d’une visite dans la région, l’Agence de presse australienne du PAA.

Ban, a déclaré le peuple des Kiribati, les îles Salomon et les autres pays du Pacifique qui sera sa voix dans les négociations sur le changement climatique qui se tiendra à la fin de l’année à Durban, en Afrique du Sud et dans d’autres instances internationales.

« Pacifique ces pays insulaires en développement sont en première ligne du climat changer. » « Sont ceux qui souffrent de l’impact, sont ceux qui ont leur existence menacée », a souligné le Ban

« la communauté internationale doit faire quelque chose maintenant », a ajouté le chef des Nations Unies.

“Nous devons protéger notre monde afin que nos enfants et petits-enfants ont jamais à me demander comment pourrait être tellement irresponsable. » « Notre seule chance est de faire quelque chose maintenant », a conclu.

Le Secrétaire général des Nations Unies est arrivé samedi en Australie, a été le dimanche dans les îles Salomon et aujourd’hui déménage à Kiribati avant de se rendre en Nouvelle-Zélande, où le matin s’ouvre les îles du Pacifique Forum à Auckland, avec la participation de 16 Nations.

Kiribati, un archipel composé de 33 atolls et une île volcanique est peuplée par environ 105 000 personnes en moins d’un demi siècle, si ont adhéré les prévisions des scientifiques, devra trouver une nouvelle patrie, parce que son infatigable sous l’océan.

Autres Nations insulaires du Pacifique, tels que les Salomon, Fidji, Nauru, Tonga et Vanuatu, perdront tout ou partie de son territoire, lorsque le niveau de la mer augmente en raison de changements climatiques.

Le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-Moon, assiste à une conférence de presse conjointe avec le premier ministre australien, Julia Gillard, le 3 septembre 2011, à Canberra (Australie). Interdiction d’interdiction se battront pour les pays du Pacifique menacés par le changement climatique. EFE