La Paz, 2 sep (EFE).-les dirigeants autochtones boliviens ont commencé aujourd’hui parler avec cinq ministres que le président Evo Morales nommées pour tenter de stopper les ethnies transportant de mars entre l’Amazone et de La Paz, en opposition à la construction d’une route qui passe au travers d’un parc naturel.

La réunion se déroule au siège d’une université publique de l’Amazonie ville de San Borja, où il est arrivé hier le mars après une tournée en peu plus de deux semaines environ 230 kilomètres de la ville de Trinidad (nord-est).

Avant la réunion, le leader de la Confédération des peuples autochtones de peuples de l’est (Cidob), Ernesto Sánchez, a expliqué au téléphone en contact avec Efe que “continue à s’engager dans le dialogue dans le cadre de la règle” et dans l’espoir qui s’est réuni les 16 demandes soulevées par les groupes ethniques, en particulier en matière de projet de la route.

Peuples autochtones exigent que la route ne passe pas par le territoire Indígena Parque Nacional Isiboro compétitifs (Tipnis) parce qu’ils craignent le gouvernement que le projet de causer des dommages environnementaux et de promouvoir l’invasion des colons et des producteurs de feuilles de coca

« La proposition est d’abord venir cinq ministres (…) » Demain venir cinq autres et tous les accords seront signés avec le président Morales, si c’est d’avoir la volonté d’accepter les 16 points que nous avons sur le plateau. « S’il n’y a pas de testament, la marche se poursuivra, “averti Sánchez.

Les ministres envoyé par Morales sont ceux de la présidence, Carlos Romero ; Wálter Delgadillo ; des travaux publics de développement productif, Teresa Morales ; justice, Nilda Cup et environnement, Mabel moine.

Indiens ont profité de la réunion de critiquer les ministres pour sa constante des attaques sur la mobilisation et ont exigé leur sont-ils désolé, surtout par l’instruction de Morales à leurs bases de chute de paysans dans cet amour pour les autochtones de l’Amazonie pour les convaincre que déjà ne pas il opposer projet.

« Nous ne sommes pas tout objet ou sont ils contourner ». « Nous avons jamais pensé qu’un président indigène ricanement ainsi de nous, “déplore un chef de file, non identifié par les médias, au début du débat.

Un des leaders reprochait Morales de dire que les peuples autochtones des plaines sont minoritaires, d’affirmer que ces « minorités a donné le nom de l’État plurinational de Bolivie ».

Le bolivien, Vice Président Álvaro García Linera, ratifié aujourd’hui lors d’une conférence de presse que la route doivent passer par le parc parce que techniquement il n’y a pas d’alternative, comme il l’a souligné moral en veille.

The United Nations system en Bolivie a appelé les autorités et les peuples autochtones “pour faire les plus grands efforts et contribuer à sa volonté” à engager un dialogue et à trouver des solutions.

Nations Unies également exhorté le gouvernement à « aller vers des solutions concertées avec les peuples autochtones touchées » par le projet de route, “dans le cadre de la garantie du droit à la consultation préalable” reconnu par la législation bolivienne et internationale. EFE