Londres, 23 février ( EFE).- certaines cliniques privées britanniques acceptent l’avortement pour les femmes enceintes qui ne veulent pas avoir le bébé une fois connaître leur sexe, surtout dans le cas des femelles, foetus, assure aujourd’hui le journal britannique The Daily Telegraph.
Dans une interview, réalisée grâce à des enregistrements avec une caméra cachée, le journal raconte comment certains médecins de centres privés ont accès à des avortements uniquement motivées par le sexe du foetus, une pratique illégale au Royaume Uni.
Parlant pour le télégraphe, le ministre de la santé, le conservateur Lansley d’Andrew, a exprimé sa préoccupation sur cette plainte et a indiqué qu’elle a commencé une enquête urgente y.
Les journalistes du journal visite, accompagnée par les femmes enceintes, les consultations gynécologiques de neuf centres de santé, privés du Royaume-Uni, dans qui a tenté de conclure une opération de l’avortement parce qu’ils n’étaient pas satisfaits avec le sexe du fœtus.
Trois des cliniques, les médecins ont convenu d’effectuer l’opération à un prix allant de 200 à 640 livres (entre 240 et 760 euros) et dans l’un d’eux, même se porte volontaire pour falsifier les rôles de l’intervention.
Dans un cas, la femme enceinte de huit semaines, explique un médecin dans une clinique de Manchester (nord de l’Angleterre) veut mettre fin à sa grossesse parce que j’allais avoir une fille, ce que le Dr convenu.
Dans un autre, une femme enceinte à un fœtus mâle de 18 semaines a réussi à conclure une opération de l’avortement dans une clinique de Londres, sous le prétexte que, comme l’a déjà eu un enfant, voulait une fille.
Loi 1967 britannique a que les médecins peut-être interrompre une grossesse jusqu’à 24 semaines si la santé physique ou mentale de la mère est en danger, mais jamais de choisir le sexe du bébé.
2010, En Angleterre et au pays de Galles lors des 189.574 opérations de l’avortement, 8 % il y a plus de dix ans.
En 2007, une étude menée par l’Université d’Oxford (sud de l’Angleterre) a fait observer que vous entre 1969 et 2005 avaient augmenté le cas de la sélection du sexe de l’enfant par le biais de l’avortement, surtout dans les naissances d’enfants parmi la communauté hindoue, établie au Royaume-Uni. EFE