Société le Catalan de contraception adhère au manifeste du diagnostic Association espagnol de la période prénatale (PDEA) avant l’annonce de possibles modifications à la Loi sur la santé sexuelle et reproductive, et l’interruption volontaire de grossesse (2, 2010) menées par le ministère de la justice.

Barcelone, septembre 2012.- la société catalane de contraception s’abonne à la mise à jour du diagnostic Association espagnol de la période prénatale (PDEA), qui appelle le ministère de la Justice de réexaminer son avis concernant la Loi organique 2/2010, sous le couvert des droits de la femme et l’enfant à naître et en réponse à la situation économique et socialeet la fourniture de mesures appropriées pour assurer l’application correcte du droit de la santé sexuelle et reproductive et l’interruption volontaire de grossesse.

Le communiqué qui respecte dans la société catalane de la contraception, qui appartient à l’Académie des sciences médicales de la Catalogne et îles Baléares santé i, déclare que :

le diagnostic Association espagnol de la période prénatale (PDEA) et ses membres montrent leur préoccupation face aux déclarations faites par le ministre de la JusticeAlberto Ruiz Gallardon, relatif à la modification du droit de la santé sexuelle et reproductive et l’interruption volontaire de grossesse (le 2, 2010) en ce qui concerne la présence chez le foetus d’une malformation ou des maladies très graves ou incurables ” ne sera pas un cours pour être admissible à une interruption légale de grossesse.

Nous croyons que les modifications apportées à la proposition de loi constitue un revers majeur pour la liberté et les droits fondamentaux dans le domaine de la santé sexuelle et génésique, en limitant la capacité décisionnelle de l’individu à des questions vitales comme cela.

Cette modification impliquerait une rupture fondamentale avec le cadre juridique de l’Union européenne et d’autres pays développés, nous aligner avec les pays avec des lois très restrictives comme Malte, la Pologne et l’Irlande.

Nous comprenons que la législation actuelle est suffisamment claire et équitable à cet égard :

femmes doivent rendre sa décision après en avoir été informé de tous les avantages, aides et droits qui peuvent être consultés si vous voulez continuer avec la grossesse, médicale, psychologiques et sociales des conséquences de la poursuite de la grossesse ou de l’interruption de la même(, ainsi que la possibilité de recevoir des conseils avant et après l’intervention. ”

c) lors de la détection d’anomalies foetales incompatibles avec la vie ” … ou lorsqu’une maladie très grave ou incurable est détectée dans le fœtus au moment du diagnostic et confirmé un Comité clinique ”

comme on peut le voir, l’application de la présente loi n’a pas généré des problèmes de santé ou juridiques et chiffres de l’avortement dans toute communauté autonome n’a pas augmenté.
De notre point de vue, la modification de la Loi, il en résultera en 2/2010, dans la direction proposée :

1. La violation des droits de la femme, nier sa capacité de décider de la maternité, déléguer son autorité sur un expert ou un législateur qui une décision anticipée par les.

L’impuissance et manque de confiance dans un système de soins de santé incohérent qui fournit des technologies les plus avancées pour le diagnostic prénatal et de dépistage, ainsi que des programmes efficaces de prévention des malformations congénitales, mais limiter les options disponibles à portée de tous les pays développés, en particulier l’exercice de l’autonomie pour les options de reproduction.

3. Une augmentation substantielle du nombre d’avortements clandestins, ce qui signifie un risque grave pour la vie et la santé des femmes, ainsi que l’augmentation des admissions d’urgence en raison de ces circonstances.

4. Une augmentation de l’inégalité économique entre les femmes qui peuvent se permettre une pause juridique dans d’autres pays européens et ceux auxquels hinder leur accès pour des raisons économiques

5. L’augmentation des situations de souffrances et psychologiques déjà souffrant lui-même extrêmement difficile.

6. Augmentation du nombre de familles dans une situation de dépendance. Situation qui se transforme en souffrance plus si on compte la situation économique actuelle, l’inefficacité de la mise en œuvre des mesures de la dépendance, la réduction substantielle de leur aide économique et l’augmentation des coûts de soins de santé dans des familles qui ont besoin d’une assistance santé spécial (chirurgie)(, pharmacologiques et thérapeutiques des soins ou chronique, en cours de santé soins traitements spéciaux, etc.).

7. Juridique incertitude pour despenalizadores de l’abri à d’autres cours professionnels de la santé, comme les motifs psychologiques, comme c’était le cas avant l’entrée en vigueur de l’article 2, 2010.