Valparaiso ( Chili), 4 avril ( EFE).-chilien Sénat a rejeté aujourd’hui les trois projets de loi qui cherche à remplacer la thérapeutique l’avortement, aboli en 1989, dans les derniers jours de la dictature d’ Augusto Pinochet (1973-1990) qui a décidé de pénaliser l’interruption de la grossesse sous toutes ses formes au Chili.
Malgré la discussion, couvrant au total cinq sessions législatives, les parlementaires ont décidé de ne pas donner le feu vert à l’un des trois projets qui voulaient uniformiser la législation chilienne dans ce domaine avec ceux des pays développés.
Après le refus du Sénat, ministre de la santé, Jaime Mañalich dit que « le Sénat a augmenté, il protège les plus faibles, les enfants qui sont sur le point d’être né, comme indiqué dans la politique du gouvernement de Piñera Président (Sebastian) “.
: Le président du Sénat, le socialiste Camilo Escalona, auteur d’un des projets rejetés, a déploré le prononcé de ses pairs à l’époque a dit s’attendre à ce que cela n’endommage pas l’image internationale du Chili.
« J’espère que la communauté internationale comprend que la démocratie chilienne est encore en croissance, » condamné.
Pour sa part, le sénateur du parti pour la démocratie, Jaime Quintana, souligne que « femmes du Chili étaient interdits, parce qu’un groupe conservateur empiété le pouvoir de décider par eux ».
Projet tout d’abord de l’avortement thérapeutique de résistance en cas de risque de la vie de la mère et qui a une plus grande viabilité pour être finalement approuvée a été rejetée par 18 voix contre et 15 en faveur de.
Le second qui a visé l’avortement eugénique, c’est-à-dire celui dans lequel le fœtus a pathologies incompatibles avec la vie ; et qui a permis l’avortement aux femmes victimes de viol, a été rejeté par 22 voix contre 9.
La troisième initiative qui a également été rejetée par 19 voix contre et 12 en faveur appelé vale, grossesses ectopiques dire ceux où le fœtus se niche dans les tubes, nécessitant une intervention chirurgicale pour interrompre la grossesse par l’impossibilité de subsistance.
Avec ces rejets, le Sénat ne peut discuter des projets sur l’avortement jusqu’à la date limite d’un an de plus, tel qu’établi par la Loi organique.
Chili est l’un des pays du monde qui n’a pas de législation sur l’avortement, dont Haïti, le Vatican, République dominicaine et Malte 8.
Malgré l’interdiction des avortements déclarés dans le pays atteint quelque 40 000 annuel, mais reproduction experts estiment que chaque année surviennent 160 000 clandestinement.
En outre, l’Église catholique a conclu à la fin de 2010, que personne n’a le droit de s’arroger le pouvoir de décider de la vie d’une autre allusion au débat sur l’avortement thérapeutique a rouvert avec force au Chili au Chili.
La Conférence épiscopale a souligné que « le niveau de développement d’une communauté est mesuré par la capacité de prendre soin des faibles et des malades », « personne n’a le droit de s’arroger le pouvoir de décider ce que la vie mérite de voir la lumière du jour et ce qui ne ».
Dans cette ligne, a souligné que « valeurs humaines fondamentales », comme le « respect de la vie, prendre soin de la plus faible, ainsi que solidarité, la compassion et la justice » doivent être respectés. EFE