(corrige les chiffres, billion plutôt que des milliards)
Copenhague, 21 mars ( EFE).- le changement climatique pourrait l’endommager annuel aux Océans par 2 billions de dollars (1 512 500 milliards d’euros) en 2100, selon un rapport publié aujourd’hui par la Stockholm environnement Institut.
Que le coût annuel, équivalent à 0,37 % du PIB global calculé par 2100, prend comme base un degré moyen de 4 augmentation des températures mondiales jusqu’en l’an.
L’étude, baptisé « Valoriser l’ océan » (évaluation de l’océan), a estimé la perte de valeur des Océans en catégories compte cinq : tourisme, augmentation du niveau des mer, de tempêtes, de pêche et de l’océan les puits de carbone.
Une réduction rapide des émissions, de limiter l’augmentation de la température planétaire à 2,2 degrés, signifierait une économie de 1,4 billion de dollars (1 059 milliards d’euros) des dommages annuels prévus.
« ces chiffres sont seulement une partie de l’histoire, mais donnent une indication du prix de la partie évitable de dommages environnementaux futurs dans l’océan, la distance entre nos espoirs et nos craintes », a souligné dans une déclaration Frank Ackerman, un des coordinateurs du rapport.
L’étude souligne également que le changement climatique n’est pas la seule menace pour les océans et indique que les dégâts pourraient être si grand convergent de plusieurs facteurs, tels que l’acidification, le réchauffement de l’eau, l’hypoxie, la montée de la niveau de la mer, la pollution et la surexploitation des ressources marines.
« doit développer une vision intégrée de l’impact de nos actions sur les océans et menacer les services essentiels, ils fournissent de la nourriture au tourisme et à la protection contre les tempêtes », a déclaré Kevin Noone, l’Académie royale des sciences de Suède et co-rédacteur du rapport.
« Valoriser l’océan » a exhorté les hommes politiques de tenir compte de la menace sur les océans dans leurs plans économiques et développement et dirigeants du monde entier demande instamment de tourner des océans sur une « priorité » dans les objectifs de développement durable global, en plus de réduire les émissions de CO2 « de la forme dramatique ».
L’étude est le travail d’une équipe d’experts internationaux, coordonné par le Stockholm Environment Institute, qui sera publié dans son intégralité à la fin de cette année.
Conclusions préliminaires
fera partie de la documentation pour être utilisé dans le sommet de Rio + 20 le développement durable, qui aura lieu en juin. EFE