Phnom Penh, 29 nov (EFE).-la Colombie a souligné aujourd’hui « progrès significatif » dans l’assistance intégrale aux victimes de mines antipersonnel sur son territoire, lors de son discours à la réunion sur la Convention d’Ottawa détenu dans la capitale du Cambodge, Phnom Penh.
« L’État colombien a été signalé des progrès importants dans la mise en œuvre des mesures sur une assistance globale aux victimes visées à le du Plan d’action de Carthagène ». « Toutefois, toujours face à grands défis », dit Ana María Díaz Uribe, coordonnateur du programme présidentiel pour l’action intégrale contre les mines antipersonnel (Paicma).
Un total de 438 colombiens ont été victimes de mines antipersonnel entre janvier et octobre de cette année.
“Bien que cela (le fait) affiche une baisse de 23 pour cent des victimes par rapport à la même période de 2010, la Colombie est toujours confronté à un problème de grandes proportions”, dit Diaz lors de son discours.
Le colombien s’est présenté comme un « sans précédent » victimes de loi et la restitution des terres ayant été approuvée par le président Juan Manuel Santos Calderon cette année, ce qui ouvre une autre via attention officielle à l’intégrale de la touchée.
En ce sens, Díaz a déclaré que 100 % des civils touchés ont été contactés et orientés en 2011,
Est un fait important, parce qu’en Colombie la victime ou la famille des morts par une mine a six mois afin d’informer les autorités et la compensation de traitement ou la réparation, sinon il perd ses droits.
Colombie, un des pays avec plus de cas d’accidents de mines terrestres, a accueilli la deuxième Conférence d’examen de la Convention d’Ottawa, en 2009, qui a été fermé afin de fournir une assistance accrue pour les victimes.
La réunion de Phnom Penh, qui a commencé hier avec l’aide de plus de cent pays responsables d’examiner les progrès accomplis dans le Plan d’action de Carthagène, fermera vendredi.
La Convention d’Ottawa, qui régit l’utilisation, la stockage, la production, la vente et la destruction des mines antipersonnel, est entrée en vigueur en 1999, dans le but que le monde était libre de ces artefacts en 2009.
Il a été ratifié par 158 pays, dont 153 ont confirmé qu’ils n’avaient déjà pas les dispositifs stockées.
Pas les gouvernements signataires comprennent la Chine, Inde, Russie, États-Unis, Israël, Maroc, Cuba ou Singapour. EFE