Buenos Aires, mar 9 ( EFE).-la volonté du Gouvernement argentin pour stimuler l’industrie nationale et en réduisant les importations est devenu un secteur aussi sensible que la production de préservatifs.

Le Secrétaire du commerce intérieur, Guillermo Moreno, est chargé de réunir les deux sociétés de préservatifs en Argentine, Kopelco, et en premier, pour leur demander d’augmenter la production pour freiner les importations.

La question de fonds, dit aujourd’hui Efe Felipe Kopelowicz, directeur de Kopelco, producteur de la marque Tulip, est que l’importation de ce produit se faite par appel d’offres du ministère de la santé qui souvent assister à des entreprises chinoises ou malaisiennes qui n’offrent pas toujours la santé de toutes les garanties nécessaires.

Pour éviter ce problème et améliorer l’industrie locale, l’agent a demandé à deux sociétés dans le secteur d’augmenter de 25 % sa production pour satisfaire la demande intérieure.

Selon les calculs du secteur, le marché local consomme environ 180 millions de prophylaxie par an, un chiffre qu’il ne rapporte en moyenne d’environ 4,5 par personne.

Est de la plus grande partie de la production des deux sociétés sur le marché intérieur, mais environ 10 % va au Venezuela, le Paraguay et l’Uruguay.

« Nous étudions les possibilités d’augmentation de la production, car nécessite des investissements et l’augmentation des achats de matières premières, » dit l’homme d’affaires, qui a annoncé ils rencontreront à nouveau avec l’agent dans quelques semaines pour organiser des plans de production.

Prophylactique argentins sont faits de LaTeX importé de Malaisie bien expliqué Kopelowicz, « vient à valeur ajoutée, contrôles et travaux de laboratoire, et c’est pur travail argentin ».

Selon les données du secteur, la majeure partie des acheteurs de préservatifs chez l’homme de l’Argentine – neuf sur dix-, plus de la moitié sont sous l’âge de 35 ans et est d’une grande partie des ventes kiosques.

Le gouvernement de Cristina Fernandez a lancé une politique de protection de l’industrie nationale qui passe par un contrôle sévère sur les importations qui touchent pratiquement toutes les activités économiques. EFE