Guatemala, 29 mars (EFE).-une paire de guatémaltèques a signalé aujourd’hui que son fils est né en janvier de l’année dernière « changé leur » par le personnel de l’hôpital de l’Institut guatémaltèque de sécurité sociale (IGSS) où la mère a donné naissance et qui livrés au lieu de cela un autre nouvellement né.
Cornelius et Edelmira, le couple, qui a préféré garder son nom dans la réserve, il dit à la Conférence de presse pour le 28 janvier 2011, dans la maternité de l’hôpital Pampelune de l’IGSS, situé dans cette capitale, naît son fils “de l’accouchement normal ».
« après l’accouchement, j’ai vu mon fils pendant quelques instants, et j’ai remarqué qu’elle avait les yeux clairs et la peau blanche, » raconte Edelmira.
Cependant, le lendemain, les autorités de l’hôpital livré à Cornelius un enfant » de peau foncée et les yeux foncés, des caractéristiques différentes, à qui il avait observé les heures de la mère avant.
Le couple a commencé à élever l’enfant comme son fils, mais des doutes ont augmenté avec le passage du temps de constater que les petits pas développé toute ressemblance physique aux parents, qui ont conduit à pratiquer des tests d’ADN.
Le résultat de l’analyse scientifique a conclu que, comme Cornelius et Edelmira soupçonné, l’enfant n’était pas son propre fils, et qu’il avait été changé « erreur » ou « quelque intérêt particulier » par le personnel de l’installation.
Des conseils de la survivor Foundation, une institution non gouvernementale qui soutient les victimes de la violence, le couple a déposé une poursuite criminelle contre la sécurité sociale dans le but d’élucider l’affaire et retrouver son vrai fils.
Norma Cruz, président de la Fondation, a déclaré aux journalistes que croient qu’il était « un bébé accidentel Exchange » et a demandé au parquet de clarifier l’affaire et d’identifier le véritable fils de Cornelius et Edelmira, il leur il existe des tests d’ADN pour environ 40 enfants qui sont nés au cours de ces journées à l’hôpital de l’IGSS.
» plus tôt, vous pouvez restaurer les bébés avec leur biologique parents sera mieux à réduire les traumatismes et les séquelles affectant, dans un premier temps aux mineurs, comme les mères, les pères et les familles qui sont dans des situations pénibles et douloureuse », a souligné la Fondation.
Les autorités de sécurité sociale ont refusé de commenter cette affaire, arguant qu’il est déjà sous enquête par le Bureau du procureur.
Selon les chiffres officiels, en moyenne, chaque jour, environ 35 enfants sont nés dans la maternité de l’hôpital de l’IGSS où vous inscrit l’affaire. EFE