Mexique, 14 sep (EFE).-le modèle actuel de lutte antidrogue qui recourt à la violence « est épuisé, » dit aujourd’hui les participants à la Conférence latino-américaine sur les politiques de drogue tenu au Mexique, à mettre en évidence la nécessité d’élaborer une nouvelle stratégie.
« Les effets de telles politiques ne devraient pas, puisqu’ils génèrent beaucoup plus de dégâts qu’elle n’en résout, » il dit à Efe Graciela Touze, président de l’asociación civils échanges, l’un des organisateurs de l’événement qui a pris fin aujourd’hui.
Pendant deux jours, plus de 300 experts venus de 40 pays, des représentants d’organisations non gouvernementales, les législateurs, les politiciens ou drogue exposés leurs expériences pour trouver une solution aux problèmes qui génèrent la drogue.
« Ont été traitées avec nombreuses questions, compte tenu de la complexité de l’affaire et il est venu à la conclusion de la nécessité de réfléchir sur les nouveaux modèles de règlement ». « L’actuel, basé sur l’interdiction, ne donne pas de résultats et génère plus de problèmes qu’elle n’en résout, » affirme.
Pendant le Forum, a évoqué la nécessité décriminaliser les consommateurs, dont certains sont emprisonnés pour le transport de petites quantités, qui conduit à la surpopulation dans les prisons.
« Il devrait être une poursuite pénale punir le crime organisé, mais doit être distinguée des liens plus faible de la chaîne ». « Proportionnalité des peines a dépend de la quantité qui prendrait, » noté.
Entre les présentations aujourd’hui acceptées la Álvaro Henry champs Solórzano, sous-ministre de la Justice et de la sécurité publique, dEl Salvador, qui a soulevé que la légalisation des drogues ne résout pas automatiquement de violence “parce que, comme avec les produits juridiques, il y a des vols, les menaces, les conflits violents entre les producteurs”.
« Alors qu’une société n’a pas surmonter ses problèmes de faiblesse institutionnelle, serait difficile de trouver des alternatives dans le domaine de la santé et dans le domaine de la Justice », a déclaré.
Pour le Mexicain Luis González Plascencia, président de la Commission des droits de l’homme du District fédéral, la participation des militaires dans la lutte contre le trafic de drogue « généré une situation vingt fois plus difficile ».
« Nous avons plus de 50 000 morts par des décisions qui nous disent qu’il devrait réduire l’offre ». « La légalisation des drogues n’est probablement pas la seule réponse, mais oui cela permettrait d’améliorer la situation de beaucoup de problèmes que nous avons aujourd’hui, » assuré.
Touze a souligné que conférences, comme celui conclu en le mexicain capital représentent une occasion de susciter la discussion fondée « discours pas idéologiques », mais dans la discussion de la « preuve éprouvée ».
Ces montrent de forums nécessitant un espace plus grand afin que les organisations civiles exposent leurs vues aux gouvernements, puisque ce sont eux qui sont en contact avec les problématiques et de savoir ce qui est là, a-t-il ajouté. EFE