coupes et retraite en réponse au VIH en Espagne a marqué la journée mondiale du sida
-Sous un même thème : plus de droits, des coupes moins, moins d’excuses ”, la plate-forme Alliance du VIH / sida – qui comprend plus de 300 entités – exécuter des actions coordonnées dans tout l’État espagnol pour dénoncer la négligence envers les enfants que le VIH/sida a eu tout au long de cette année.
Espagne, novembre 2012.- L’année 2012 a été une année tragique pour la réponse contre le VIH en Espagne qui nous laisse une réalité et un contexte sombre en comparaison avec le de seulement un an plus tôt. C’est pourquoi la plateforme de l’Alliance pour le VIH et le sida de l’État espagnol condamne l’irresponsabilité du gouvernement qui a rompu tous les citoyens un accès égal à la couverture de santé de base et paie champ dans les prochaines années pour accroître le nombre de personnes infectées par le VIH / sidaainsi que de la marginalisation d’un grand nombre d’entre eux, il va avoir grande et grave personnels, sociaux, sanitaires et également des répercussions économiques.
Juan Ramón Barrios, porte-parole de l’Alliance des plates-formes du VIH, qui met l’accent sur actions préventives sont moins coûteuse, en argent et en vies humaines, que les traitements contre le sida. VIH ne connaît aucune crise et la suppression des actions de prévention du VIH ou négligence augmentera le nombre de nouveaux cas d’infection ”.
Mesures prises par le gouvernement en 2012
-restructuration et la perte d’importance du Secrétariat du Plan National sur le sida (précisément dans une année cruciale pour évaluer le Plan multisectoriel contre l’infection par le VIH et le sida 2008-2012 et pour l’élaboration du Plan pour les années 2013-2017).
-le retard et le radical reducción des fonds alloués à la convocation de l’état des subventions pour les ONG dans l’année 2012, qui ont frappé les pionniers des projets historiques des institutions qui connaît vraiment son efficacité et son impact sur la communauté du VIH et à l’ONG Etat espagnol, en particulier celles qui visent à l’ONG basée à Catalogne dont presque supprimé dans cet appel de fonds.
-l’élimination des transferts spécifiques à la LACC permettant d’effectuer des actions dans la prévention du VIH autonome et locale
-centres de l’élimination des transferts au général Secrétariat des établissements pénitentiaires pour le développement d’actions pour la prévention du VIH/sida en prison.
-mise en oeuvre de l’Arrêté Royal qui empêche l’attentionSanté sur un immigrés de personnes en situation irrégulière ; l’implantation du remboursement des médicaments qui affectent les catégories économiquement plus faibles de la société.
-la coupe dans la recherche publique qui peut-être mettre en danger les progrès dans la recherche fondamentale, un élément essentiel dans le développement de médicaments et les thérapies innovantes.
-la cessation de l’adoption du Pacte Social pour la non-discrimination associés au VIH et sida.
-l’absence d’appel d’organes ou espaces le droit de prendre des décisions concernant le modèle et les stratégies d’intervention contre le VIH dans l’État espagnol.
Carlos Savoie, porte-parole de la plate-forme de l’Alliance, dénonce que par le biais de ces décisions, le gouvernement ne parvient pas à se conformer à ses obligations en matière de protection de la santé qui émanent de la Constitution, la Loi sur la santé générale et la loi générale sur la santé publique et avec les objectifs et les engagements internationaux qui ont souscrit à l’intervention contre le VIH ”.
Revendications du VIH et du sida de la plate-forme de l’État espagnol Alliance
L’Alliance des plates-formes du VIH réclamer une réponse à l’infection par le VIH et sida engagée, efficace, durable et solidaire, au ministère de la santé, services sociaux et l’égalité ou au gouvernement exigeant dans la réponse contre le VIH dans notre pays, les mesures suivantes :
-convoquer immédiatement le Comité consultatif et des ONG (COAC) consultation de la Commission nationale de coordination et de suivi des programmes de Prévention du sida, aussi bien comme immédiatement convoquer la Commission nationale elle-même.
-encourager la participation des ONG dans l’élaboration du nouveau Plan stratégique 2013-2017 et mise en œuvre en cours.
-comte avec la participation des ONG à la mise en place des lignes prioritaires d’action pour les noms principaux de service.
-approuver un budget Addendum de 750.000 € par mesure correcteur d’épreuves avant la résolution provisoire actuelle de l’appel de subventions de l’Etat pour les ONG en 2012 afin d’y inclure des programmes qui, malgré étant considérée comme favorable, ont été exclus de la proposition de subvention (annexe 2 de la résolution intérimaire) et qui n’ont pas obtenu autre financement pour les actions en rapport avec le VIH dans cet appel, ou ailleurs dans ce ministère.
-augmenter la lignes budgétaires pour la riposte au VIH en 2013, y compris celles visant à l’assignation des subventions aux entités sans esprit de profit transferts spécifiques aux communautés autonomes et le milieu carcéral, par ailleurs que ceux-ci apparaissent prévue lors du breffage, explicitement et sans équivoque, dans les budgets de l’état général qui sont développent dans les années à venir.
-garder le prise en compte du caractère exceptionnel du VIH.
– inclure les immigrés en situation irrégulière de personnes au sein du système de soins de santé et garantir l’accès aux soins et aux traitements dans les mêmes conditions que le reste de la population.
Montse Pineda, porte-parole de l’Alliance des plates-formes, confirme que après les coupes faites au cours de 2012, nous ne sommes pas prêts à accepter que l’Ana Mato, ministre de la santé, services sociaux et l’égalité, veulent se démarquer comme un aspect positif le maintien du budget du Plan National sur le sida en l’an 2013, comme il l’a fait récemment dans la présentation du budget du Congrès de ce ministère pour la période 2013 ”. Pineda insiste sur le fait que la politique budgétaire et courante est clairement insuffisante pour donner une réponse adéquate au VIH en Espagne, donc encourager les citoyens à convertir ce 1er décembre dans une journée de revendication et de la lutte pour s’assurer de l’État-providence, l’accès universel aux soins de santé et la lutte politique contre le VIH. Nous n’acceptons pas les mesures du gouvernement parce que la réalité qui marque le VIH ne permet pas de prendre du recul ”.