Genève, 30 nov (EFE).-décès dus au sida tomba 22 pour cent au cours des cinq dernières années, période où le nombre de personnes infectées par le virus du VIH a chuté de 15 %, selon un rapport publié aujourd’hui tellement conjointement par plusieurs organismes des Nations Unies de

Le “rapport sur la réponse globale au VIH/sida”, produit par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), l’UNICEF et l’ONUSIDA, a souligné la nécessité de renforcer les politiques visant à soutenir la prévention et le traitement de la maladie afin de maintenir cette tendance positive.

« Le monde a coût lui parvenir à cet élan de 10 ans », elle a déclaré dans une conférence de presse Gottfried Hirnschall, directeur du département de l’OMS VIH.

« À l’heure actuelle, il existe la possibilité même d’anticiper l’épidémie, mais ceci peut être réalisé seulement soutenant et en accélérant l’élan pour la prochaine décennie et au-delà, » a ajouté le chef de l’OMS.

Ces organismes basé leur optimisme sur les innovations et les progrès scientifiques dans la lutte contre le VIH, mais avertir qu’il sera nécessaire de les appliquer rapidement afin qu’ils ne sont pas touchés par la crise économique internationale.

Le rapport souligne les réalisations concrètes, telles que l’amélioration de l’accès aux tests effectués sur le VIH/sida en Afrique, qui a permis d’atteindre 61 pour cent des femmes enceintes dans l’est et au sud du continent, 14 % plus de l’année 2005.

a été également que 48 % des femmes enceintes infectées reçoive un traitement efficace pour prévenir la transmission au bébé et que 6,6 millions de personnes portent du virus dans les pays pauvres et en développement (où il est affecté de 14,2 millions) reçoivent actuellement un traitement antirétroviral (TAR).

Les auteurs ont également une incidence sur l’impact économique que cela représente et estimée à 34 milliards de dollars de bénéfices potentiels jusqu’en 2020, en améliorant l’activité et la productivité dans les pays les plus touchés par la maladie.

“2011 est encore une année dans laquelle changer les règles du jeu. » « Avec les nouveaux progrès scientifiques, direction politique sans précédent et les progrès constants de la riposte au sida, les pays ont la possibilité de saisir l’instant et d’aller plus loin, dit Paul Lay, directrice générale adjointe de l’ONUSIDA.

Malgré de bonnes données d’après le rapport, les auteurs soulignent qu’il n’y en a beaucoup à faire, que plus de la moitié de ceux qui ont besoin d’un traitement antirétroviral dans les pays à faible revenu encore n’ont pas accès à ce traitement et, dans bien des cas, sont pas même consciente qu’ils sont le VIH-positif.

Dans de nombreux pays n’est pas payé l’attention voulue aux groupes à risque élevés, qui restent généralement des programmes de prévention et de traitement : adolescents des femmes toxicomanes par injection intraveineuse, homosexuels, hommes transgenre, prostituées, prisonniers et émigrants.

Worldwide, 64 % de la population âgée entre 15 et 24 infectés par le sida sont des femmes, un taux qui dans le cas de l’Afrique subsaharienne augmente à 71 %, en raison du fait que les stratégies de prévention ne viennent pas à cette région.

Il y a aussi une marginalisation des groupes clés, comme les utilisateurs de drogue en Europe orientale et d’Asie centrale, qui représentent plus de 60 % des séropositifs, mais s’élevant à seulement 22 % des personnes ayant accès à la thérapie antirétrovirale.

Malgré les améliorations pour prévenir la transmission de la mère pour enfants, quelque 3,4 millions d’enfants vivent dans le monde avec le VIH, un groupe de population aussi subir un traitement discriminatoire.

En voie de développement et les pays sous-développés du développement, l’un des quatre enfants avec le traitement de virus n’a obtenu que de sida en 2010, avec l’un des tous deux adultes.

« On note que les progrès pour les enfants sont plus lent, » dit Leila Pakkala, directeur du Bureau de l’UNICEF à Genève, qui considère “alarmante” le niveau de couverture pour l’enfant.

Par région, en Afrique il y 1,9 million de nouveaux infectés au cours des cinq dernières années, qui place le nombre total de porteuses du VIH sur le continent en 22,9 m.

En Asie il y a la stabilisation de l’épidémie, avec 4,8 millions infectés (49 % dans l’Inde), comme en Amérique latine et les Caraïbes, où les chiffres stabilisé autour de 1,7 millions de dollars (1,5 million en Amérique latine et 200 000 dans les Caraïbes).

L’augmentation plus drastique s’est produite en el Europe orientale et l’Asie centrale, où les nouvelles infections ont augmenté de 250 % au cours de la dernière décennie, avec el 90 % des cas en Russie et en Ukraine.

Dans le Moyen-Orient et l’Afrique du Nord il ont a 59 000 personnes infectées d’ici 2010, une hausse de 36 % rapport 2009.

Photographie du dimanche 27 novembre, ce qui montre un patient avec le sida tout en recevant des médicaments dans le bouddhistes temple Wat Phra Baat Namphu, célèbre pour son traitement pour les patients atteints du VIH et le sida, dans la province de Lopburi (Thaïlande). EFE/fichier