la Paz, 16 fév (EFE).-plus d’un millier de médecins, les travailleurs de la santé et les enseignants bolivien s’est effondré aujourd’hui le Centre de La Paz pour protester contre l’augmentation de la journée de travail dans le secteur de la santé et des réformes dans l’éducation a décidé par le président Evo Morales.

Manifestants couper l’avenue principale de la ville pendant plusieurs heures et a prétendu que la protestation consolide l’Alliance des trois secteurs pour les futures mobilisations conjointes contre l’exécutif.

Le président de l’école de médecine de la paix, Luis Larrea, ratifié que secteur a rejeté le décret par Morales qui augmente de six à huit heures de travail, car, dit il a annulé une conquête sociale et ne résout pas les problèmes dans les hôpitaux de l’État.

“Veulent imposer un décret sans voir le fond du problème, est le besoin de plus de ressources humaines, infrastructures et équipements dans les hôpitaux, a indiqué Larrea.

Dirigeant syndical arille Cáceres, à la sécurité sociale des travailleurs, a souligné que l’Alliance est également de lutter pour une augmentation de salaire au-dessus de l’offre du gouvernement, attendu de 7 pour cent, car l’inflation 2011 fermée à 6,9 %.

Le chef du personnel enseignant de La Paz, José Luis Álvarez, a également souligné l’Alliance de ces secteurs pour défendre leurs acquis sociaux « dans les rues » et de s’opposer à des réformes de Morales qui, à son avis, porter atteinte aux droits à la santé et l’éducation.

Médecins exprimées par La Paz chantent moins coca et davantage d’hôpitaux, et les enseignants s’écria autres slogans faisant allusion au président de la Bolivie est le leader des syndicats de producteurs de coca, la matière brute de la cocaïne.

Heures avant la marche, Morales a reconnu qu’elle a des problèmes avec le Magistère et les syndicats de la santé et s’est plaint lors d’une cérémonie militaire qu’à l’extérieur de la Bolivie ses réformes sont « plus de satisfaction, plus de reconnaissance ». EFE

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