Asunción, 13 mars ( EFE).- les médecins et le Paraguay Ministère de la santé responsables aujourd’hui commencent une grève je rejette une résolution de l’ augmentation des heures de travail dans le secteur et des rumeurs de répudiation possible licenciements.

La mesure de la force a été organisée par la Fédération nationale des travailleurs de la santé (FNTS), le plus important du pays, dont les dirigeants ont ratifié cet après-midi sa position lors d’une réunion avec les autorités de la santé et le ministère de la Justice et du travail.

« Il y a plus de 20 000 travailleurs de la santé publique, il y a un très grande conformité de la mesure dans une grande partie du pays, » lui dit le docteur Carlos Cubas, un des leaders de la FNTS à Efe.

La source a expliqué qu’ils protestent contre les prétentions du portefeuille de l’industrie de plus en plus « charges de temps » pour doubler, même de la triple sans les augmentations de salaire entre le 1er avril.

Asserted qu’ils se manifestent aussi contre le licenciement possible “de 256 médecins selon le ministre (Esperanza Martínez), plus de 360 selon la FNTS de ».

Pour sa part, le ministère de la santé a précisé dans une déclaration que 33 000 fonctionnaires disponibles à cet organe, 1 114 sont désignés pour la mise en œuvre de la charge temps.

« Les fonctionnaires qui ont été touchés par l’augmentation de la charge de travail, le temps actuellement reçoivent une rémunération qui est plus élevée que les standards du marché », a fait remarquer la source.

Cité comme exemple qu’une biochimie professionnelle du secteur privé perçoit actuellement une moyenne de 20 500 guaraníes (4$) pour chaque heure de travail, tandis qu’un officier de rang similaire du ministère de la santé reçoit 57 500 guaraníes (13$) pour chaque heure de travail.

Martínez a noté a déclaré aux journalistes que seule une soixantaine de personnes soumis à la grève et critiqués à l’action directe, prise par la FNTS à une époque où le pays fait face à une nouvelle épidémie de dengue, une maladie endémique dans ce pays d’Amérique du Sud.

Le ministre de la santé avertit également des sanctions possibles pour les organisateurs de la grève.

Cubas est intervenu de ces déclarations et Martinez de générer cette situation conflictuelle avec les fonctionnaires a accusé.

« Qui est-ce peut se produire que dans une situation comme cela devrait être porté à la double ou triple le fardeau du temps d’un travailleur de façon unilatérale et sans aucune compensation et qu’il rejette à six cents personnes », dit

. EFE