La détection précoce du cancer du colon peut guérir 90 % des cas.
Espagne, 2011-septembre Proctológico European Centre El commence, six mois seulement avant la Journée mondiale du cancer du côlon et du rectum, tenue le 31 mars, une campagne de prévention à la croissance alarmante dans les cas de cancer du côlon. Espagne
Bien que les facteurs de risque comprennent les antécédents familiaux et l’âge (plus de 50), contraintes soudaines changent fondamentalement alimentation et mode de vie, considérée comme la cause probable environ 60 % de ces pathologies.
La honte qui entoure ces maladies, malgré son habituelle est évidente. Aussi, il y a un vide de l’information à cet égard, restent inconnus des symptômes, solutions, gravité, etc.. Il est commun, même que de nombreux patients atteints de cancer rectal pour assister à la consultation manifestant un saignement prolongée à laquelle ils ne donnaient pas d’importance et se sont identifient comme les hémorroïdes.
À titre d’illustration, en 2006, en Espagne 13.101 gens meurt d’un cancer colorectal, 12,9 % du nombre total de décès dus au cancer au cours de cette année. Aujourd’hui, malgré les extraordinaires progrès réalisés dans les traitements médicaux et chirurgicaux et une plus grande conscience de l’importance du diagnostic précoce, cancer du côlon et rectum demeure un problème de santé grave, avec un taux de mortalité en Espagne plus de 12 000 cas par an (13 pour cent de tous les types de cancer) et une incidence annuelle de más de 25 000 cas (16 % de tous les cancers).
cancer du côlon
le côlon et rectum (partie finale de l’intestin) est l’endroit où sont stockés les fèces avant d’être expulsés vers l’extérieur par le biais de l’anus. Entreprendre ce travail, accumuler des déchets des substances qui sont propices à l’émergence d’un cancer, maligne cellules situé dans l’intermédiaire et plus longue portion de l’intestin. Pour cette raison, il est important de réduire le temps de l’accumulation, en adoptant une alimentation équilibrée qui facilite le transit intestinal.
C’est un cancer assez courant dans de nombreux pays, mais aussi faciles à détecter, possède un degré élevé de cure et prend de temps à développer, parce que c’est une longue évolution qui commence avec la formation d’un polype (bundle à côté de la membrane de tout corps) de nature bénigne. Toutefois, il peut développer pendant des mois sans causer des malaises et, lorsqu’ils apparaissent sous la forme de changements de rythmes intestinales, diarrhée ou sentiment de ventre plein, constipation, sang dans les selles, douleurs abdominales, de perte de poids et d’appétit, de la fatigue constante et de vomissements … maladie ont tendance à être avancés.
Donc ne pas être surmontés par honte et dès que possible le recours au spécialiste permettra d’établir rapidement un diagnostic et à la mise en œuvre cohérente du traitement nécessaire. Cette action, ainsi que la réglementation des habitudes, réduirait jusqu’à 90 %, 25 000 annuel de cas de cancer du côlon en Espagne, le cancer le deuxième plus fréquent chez les femmes et la troisième chez les hommes.
Coloscopie
Coloscope haute définition pour détecter le cancer du côlon au début. Le coloscope peut voir toute pathologie dans son état initial en raison d’une caméra haute définition
Le Centre Proctológico européen de la Corogne, a présenté un coloscope peut détecter à un cancer du côlon de stade précoce. A expliqué le directeur médical du Centre, Federico Sánchez, dans 70 % des cas la tumeur développe d’une lésion bénigne qui se transforme en cancer.
Environ 75 % des cancers colorectaux sont sporadiques, développer chez les personnes qui ne pas ont augmenté d’antécédents familiaux ou de facteurs de risque de maladie précédente.
Les contraintes que 90 % survient dans plus de 50 ans, étant l’âge le premier facteur de risque à considérer. L’incidence de la crête des polypes colorectaux est située entre 55 et 65 ans, alors que le Cancer Colorectal sont 65 et 75 ans, le taux moyen étant très semblable chez les deux sexes : 61,7 % chez les hommes et 51,3 % chez les femmes.
Importance du diagnostic précoce
Des preuves scientifiques internationales montrent que la prévention primaire et secondaire sont les armes les plus efficaces de réduire considérablement l’incidence et la mortalité et la morbidité de la maladie en augmentant les taux de guérison jusqu’à 80 ‐ 90 %.
Prévention primaire, en d’autres termes, un exercice modéré pratique et une alimentation équilibrée, permettrait de réduire son incidence de 50 %.
Cependant, grâce à des programmes de détection précoce, la mortalité due au cancer colorectal peut être réduite jusqu’à 30 %, permettant à la maladie attaque à ses débuts (lorsque le polype est bénigne), augmente vos chances de guérison.
Dans le cas de cancer du côlon, il existe plusieurs méthodes avec une grande efficacité, y compris la coloscopie, avec une sensibilité de 95 à 97 %.
90 % Des polypes colorectaux sont extirpables par une coloscopie, raison pour laquelle cette étude endoscopique est la méthode la plus puissante de réduire l’incidence du cancer colorectal.
Campagne de sensibilisation du Centre européen pour la Proctológico
À l’inquiétante, ils affectent cia des cas de cancer du côlon et du rectum en Espagne, le Centre européen de Proctológico a lancé une campagne de sensibilisation réalisée principalement à la population de risque plus grand, plus de 50 ans des hommes et des femmes, même s’ils ne présentent pas de symptômes ou sont apparemment en bonne santés.
Il fournira de l’information et un dépistage gratuit du test sanguin (RSOS) fécal occulte. Les parties intéressées recevront une équipe avec des instructions expliquant comment prélever un échantillon de fèces dans sa propre maison. Par la suite, le laboratoire clinique du Centre européen Proctológico permettra de déterminer si elle contient le sang, et donc d’autres tests seront nécessaires afin de déterminer avec précision la cause de l’hémorragie.
Donc confiance soulèvent conscience de l’importance de mener des tests diagnostiques de sang dans les selles tous un ou deux ans, sigmoïdoscopie toutes les cinq et coloscopie chaque dix, que ces programmes peuvent réduire la mortalité du cancer du colon de 30 ‐ 35 %.