Quito, 15 sep (EFE).-la présence de deux variétés du virus de la dengue en Équateur pas avait été circulant pour quelques années sur son territoire soulève la possibilité que des cas de dengue hémorragique, le plus meurtrier, seront selon les sources médicales dit Efe.
« Le risque est donné par la circulation simultanée d’au moins deux sérotypes dans les populations des zones endémiques qui ont déjà souffert de la dengue classique », dit Efe le directeur général de la santé, Juan Moreira et le directeur général de l’Institut National d’hygiène, Marcelo Aguilar, dans une interview par courriel.
Si une personne a souffert de la fièvre dengue, causée par toute sérotype est infecté par un autre aura un « risque accru » de développer la dengue hémorragique, la forme grave de cette maladie, selon les experts, pourquoi il est dangereux de diverses variétés sont présentes dans un même territoire
Entre 2002 et 2007 prédominance en Équateur, le mouvement de sérotype 3, qui a été ensuite déplacé par la 1.
, Mais on a décelé la présence de sérotype 2 dans la province d’Esmeraldas et 4 dans les provinces de Guayas et Manabi qui n’était pas apparu depuis quelques années maintenant.
Ceci indique qu’il pourrait y avoir une circulation simultanément pour au moins deux variétés de fièvre dengue dans ces provinces.
Le ministre de la santé, David Chiriboga, a averti mardi d’une épidémie de possible dans l’hiver – entre décembre et février – suite à la découverte de la circulation de ces deux sérotypes.
Le dernier major de la maladie dans l’éclosion de l’Équateur a eu lieu en 2010, lorsqu’elle a touché 4 000 personnes et produit 4 morts.
Les autorités recommandé des mesures préventives afin d’éviter que les moustiques qui chargement le virus, tels que le logement et son environnement libre d’objets développe où l’eau croupie.
« Les moustiques qui transmet la dengue peuvent pousser dans des contenants aussi petits qu’un couvercle de la bouteille ou une canette de thon et les pneus avant tout utilisés, » a expliqué Moreira et Aguilar.
Avant tout symptôme que le patient ne devrait pas automédication avec les médicaments anti-inflammatoires ou la grippe, selon les experts, qui a souligné que le seul médicament “assurance” à perdre en cas de fièvre dengue est l’acétaminophène, connu aussi comme le paracétamol.
Ils recommandent aussi aller à la santé le plus proche suspectée de la fièvre dengue.
La dernière épidémie majeure de cette maladie en Équateur a eu lieu en 2010, lorsqu’elle a touché 4 000 personnes et produit 4 morts. EFE/fichier