Guatemala, 29 mars ( EFE).-au moins 300 anciens de 13 maisons d’exploitation au Guatemala aujourd’hui rencontré trois jours de protestation à la périphérie de la maison présidentielle, comme mesure de la pression pour exiger les ressources du gouvernement pour leur survie.
Coordinateur de l’un des 13 maisons du refuge « Dulce Maria », Carmen Brok, a expliqué à l’Efe qu’ils ont décidé de s’installer avec auvent et tapis à la périphérie du siège de l’exécutif parce que le gouvernement n’a pas livré 2,33 millions de dollars du budget de l’opération.
Est la première fois en huit ans qui mène au refuge, dont l’État a pas alloué des ressources pour accueillir environ 4 000 personnes âgées sur le territoire national, 1 500 d’entre eux en permanence selon Brok,.
Hier le président du Guatemala, Otto Pérez, a dit aux journalistes qu’il a proposé que le ministère du développement Social est chargé de gérer les abris de « Sweet Maria », parce que pas donneront de l’argent à l’Association en raison de la mauvaise gestion par le passé.
La décision de ne donner leur fonds en 2012 était du Congrès protestation devrait être là, il a marqué représentant.
Victor Manuel Díaz, 70, provenaient de la ville de Mazatenango, à 165 kilomètres au sud de la capitale, à se joindre à la protestation.
« Je suis un orphelin, déjà seulement regarder peu avec cet oeil (à gauche) et l’année dernière, j’ai eu le cancer à la poitrine que j’ai décelé il y a sept ans » alors qu’il a montré sa grande cicatrice sur le côté droit, a déclaré Díaz EfE.
Selon le vieil homme, à l’abri de Mazatenango à laquelle est arrivé il y a deux ans n’ont plus nourriture, médicaments, d’eau ou de lumière.
« nous ne compter avec le soutien du peuple, maintenant ne peuvent pas travailler, je pense que mes yeux est brûlés, » dit Díaz entre larmes.
« Il y a des grands-parents qui ne peuvent pas même aller, dans un fauteuil roulant et sont injuste ce qu’ils font avec nous, » s’est plaint.
Au moins 300 anciens de 13 maisons d’exploitation au Guatemala restent installées à la périphérie de la maison présidentielle dans la ville de Guatemala, où, le jeudi, a rencontré trois jours de protestation, comme mesure de la pression pour exiger les ressources du gouvernement pour leur survie. EFE
plusieurs hommes restent à la périphérie de la maison présidentielle dans la ville de Guatemala, où au moins 300 anciens de 13 maisons opérant dans le Guatemala et le jeudi a rencontré trois jours de protestation, comme mesure de la pression à la demande, les ressources du gouvernement pour leur survie sont installés avec auvents.