Bruxelles, 9 sep (EFE).-l’Union européenne (UE) a décidé aujourd’hui d’étendre au moins jusqu’à la fin de l’année des contrôles spéciaux pour les aliments importés des zones Japon pourraient être touchés par la catastrophe de la centrale nucléaire Fukushima.

Les vingt-sept ont soutenu une proposition de la Commission européenne (ce), afin de maintenir pendant trois mois, jusqu’au 31 décembre – les mesures adoptées le 24 mars, mesures qui continuera à être révisé chaque mois.

Ainsi, les produits de 12 préfectures japonais continuer passant des tests de radioactivité avant de quitter le pays gravi tout en étant soumis à des contrôles renforcés dans l’UE, avec analyse d’au moins 10 % des expéditions.

Les produits originaires de 35 autres préfectures du Japon devra être accompagnée d’une déclaration précisant son origine, bien qu’ils continuent également de passer des tests d’extraordinaires, au moins 20 % des importations testés dans les laboratoires.

Exécutif de la communauté, de toute façon, souligne aujourd’hui que les risques de nourriture découlant de l’accident nucléaire de Fukushima sont considérablement « faibles dans l’UE ».

Dans tous les cas, la Commission reste vigilante et a été active pour s’assurer que l’alimentation humaine et animale qui vient dans l’Union européenne du Japon sont sécuritaires », a indiqué dans un communiqué. EFE