Londres, 26 Aug (EFE).-le gouvernement devrait prendre des mesures plus « difficiles » pour éradiquer le problème des systèmes de santé de l’obésité des différents pays, selon un groupe d’experts internationaux.
Dans une série d’articles qui publie la revue scientifique The Lancet, une équipe de chercheurs est d’avis qu’aucun pays n’a été capable de traiter avec toujours ce problème.
Selon eux, les changements subis par la société que les gens paraît plus difficile de mener une vie saine et de considérer que, sans la médiation des gouvernements, des systèmes de santé pourraient être saturés.
Continuent de les problèmes associés à l’obésité, comme le coût de diabète, sont maintenant entre 2 et 6 pour cent de la santé de la majorité des pays et selon les articles, il est probable que cette situation va empirer si les tendances actuelles.
Experts mis au point des projections pour les États-Unis et le Royaume-Uni, deux des pays développés avec la pire taux d’obésité et prédit que ces taux augmenteraient dans une salle où le Britannique jusqu’à 40 % d’ici 2030.
Pour s’acquitter de la prophétie pour le national health service (NHS) du Royaume Uni coûterait un autre 2 milliards de livres par an, équivalent à 2 % des dépenses de santé.
L’augmentation des frais de santé serait encore plus grande pour les États-Unis, où le taux d’obésité passerait d’une à trois personnes à un sur deux.
Les experts ont convenu que l’ensemble de la société a un rôle à jouer pour éradiquer le problème et a souligné que les gouvernements ont recours à la législation et à l’intervention directe pour créer un meilleur environnement.
Selon eux, des mesures telles que la restriction des annonces de déchets alimentaires, l’impôt des aliments insalubres, à l’alimentation de l’étiquette et de promouvoir l’éducation dans les écoles des programmes économiser de l’argent alors qu’ils bénéficient de santé.
L’expert Klim McPherson, professeur à l’Université d’Oxford, un des chercheurs, a dit que « c’est de changer l’environnement dans lequel les gens vivent afin qu’ils peuvent avoir des options plus saines ».
McPherson demande instamment que lors du prochain sommet de l’ONU sur la santé en septembre est il presse les gouvernements à agir. EFE