Washington, 28 mar ( EFE).-un Comité d’experts aux États-Unis.UU. Aujourd’hui a recommandé la publication de deux études sur les variantes du virus de la grippe aviaire (ou H5N1) se répandra parmi les mammifères, après avoir informé en décembre ne pas de les divulguer pour peur qu’ils ont été utilisés pour développer un ont.

“les données décrites dans les manuscrits révisés ne semblent ne pas fournir de l’information qui permettrait immédiatement l’usage abusif de la recherche d’une manière qui pourrait mettre en danger la santé publique ou la sécurité nationale », a expliqué dans une déclaration du Conseil consultatif National de biosécurité dans les États-Unis.UU. (NSABB, pour son sigle en anglais).

Le Conseil a recommandé décembre études, prêts à être publié par la revue « Nature » et « Science », non divulgués par crainte que les détails ont été utilisées pour développer un fins terroristes d’armes biologiques par les États ou les organisations armées.

Après cette recommandation, les autorités des États-Unis a cessé la publication, ce qui a incité les plaintes émanant de la communauté scientifique et les magazines, que pan appelés l’étendue de la censure.

Études, menées par des scientifiques des universités Erasmus de Rotterdam (Pays-Bas) et le Wisconsin (EE.)(UU.), recueillir des résultats en laboratoire sur les mutations génétiques du virus H5N1 virus peuvent se propager entre les mammifères et, par conséquent, humain.

L’un des principaux objectifs de ces études était d’obtenir l’information nécessaire pour prévenir une possible pandémie causée par cette variante et de créer un vaccin pour protéger les nouvelles souches.

Habituellement, le virus H5N1 se transmet entre volaille et sa transmission à l’homme est rare, donc la transmission entre les gens puisse être très meurtriers, selon les experts.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), les virus de l’influenza aviaires infecte rarement les gens et quand vous faites dont un taux de mortalité de 60 %.

Globales experts convoquées par qui en février dernier a accepté de défendre un ajournement de la publication d’études pour être en mesure de mieux calibrer l’impact de la diffusion de leurs résultats.

Après examen des enquêtes entre jeudi et aujourd’hui, des experts de le NSABB américain a soutenu « à l’unanimité » par la publication de l’étude de l’Université du Wisconsin, selon la déclaration.

En ce qui concerne les menées aux Pays-Bas, 12 membres de la NSABB, a parlé en faveur de la divulgation et 6 contre.

Selon le NSABB, « compréhension des mutations spécifiques peut améliorer surveillance internationale et de la santé publique et de sécurité. ».

Les nouvelles recommandations de cet organisme seront maintenant envoyées au gouvernement des États-Unis pour examen et prise en compte. EFE