La Havane, 7 sep (EFE).-un experts non gouvernementaux dans l’huile et à l’environnement de la délégation des États-Unis se trouve dans la Havane afin de partager des expériences sur la façon de prévenir les déversements d’hydrocarbures lors de l’exécution de forage eau profonde de l’île.
Le groupe est dirigé par William Reilly, qui a été coprésident de la Commission d’enquête du déversement de pétrole brut a provoqué en avril de l’année dernière par une explosion à l’Horizon en eau profonde dans la plateforme du golfe du Mexique.
Reilly a également participé à la préparation d’un rapport plus tôt cette année qui a recommandé que le gouvernement des États-Unis.UU. travaillant avec le Mexique et Cuba de développer et de partager des normes de forage avec ces pays afin de prévenir les futurs déversements.
Aussi composent les spécialistes de la délégation Daniel Whittle, le fonds de défense de l’environnement (EDF, pour son sigle en anglais) et Lee Hunt, l’Association internationale de forage des entrepreneurs.
Wittle mercredi dit journalistes qui cherchent à “établissent un espace pour un dialogue constructif” sur cette question avec les autorités cubaines.
« Il est très important si Cuba va mettre de l’huile de forage en mer qui sait ce qui est nécessaire pour exécuter sans danger pour l’environnement, a déclaré Wittle.
Des experts américains ont déclaré qu’ils ont rencontré le ministre cubain de l’industrie de base, Tomás Benitez et le directeur de l’Amérique du Nord de la chancellerie, Josefina Vidal.
, L’expert a dit être « optimistes » après des entretiens avec les dirigeants cubains, parce qu’il a vu que la porte à Cuba est « ouverte » à travailler dans le domaine de l’environnement avec EE.UU., parce que « il n’est pas aussi compliquée que d’autres ».
« Je suis convaincu qu’il y a des opportunités, » souligne.
Wittle estime que « il est très difficile de percer dans les eaux profondes et il nous faut donc apprendre avant de commencer à exécuter ce travaux ».
« Je sais que Cuba va démarrer cette année de forage avec la compagnie Repsol, qui a l’expérience, » noté.
Cuba a dans les eaux du golfe du Mexique pour une zone économique exclusive (ZEE) avec une superficie de 112 000 kilomètres carrés, divisée en blocs de 59.
Dans 22 de ces blocs fonctionnent selon les compagnies pétrolières étrangères de contrats, tels que la hispano-argentine Repsol-YPF, la vénézuélienne PDVSA, la norvégienne Statoil-Hydro et le vietnamien PetroVietnam.
Dans le secteur, les autorités cubaines ont dit qu’ils attendent l’arrivée d’une plate-forme pétrolière bâtie en Chine et à Singapour, la société italienne appartenant à Saipem et embauchée par Repsol YPF pour démarrer de forage dans la zone économique exclusive (ZEE).
Ont aussi veillé à ce que la plate-forme est une sixième génération et leurs opérations à Cuba auront « les mêmes garanties de sécurité accordées par la communauté internationale de pétrole ».
Cuba revendique plus de 20 perspectives avec une importance commerciale dans sa ZEE et croit que les réserves de la région étudiée sont entre 5 000 et 9 000 millions de barils de pétrole brut ont été dévoilées après que les analyses effectuées ces dernières années. EFE