Madrid, mar 21 ( EFE).-l’ état Fédération des lesbiennes, Gais, transexuels et bisexuels (FELGTB) a dénoncé aujourd’hui l’ignorance « large » sur lesbienne, bisexuel sexuelle santé et qui ont des relations sexuelles avec les femmes, malgré le fait qu’ils ne sont pas immunisés contre les maladies transmises sexuellement.

Un rapport de cet organisme, rendu public aujourd’hui, ce groupe est des politiques pour traiter ces pathologies de.

L’étude a effectué une analyse des motifs de l’invisibilité dans le domaine de la santé de l’émotionnel et les relations sexuelles entre les femmes et les conséquences que cela suppose de leur santé sexuelle.

Détaillant la prévalence des IST dans ce groupe, discute de la vulnérabilité et les facteurs de risque ainsi que les obstacles qui sont pour une prévention adéquate et les pratiques sexuelles du risque et effectué diverses recommandations préventives.

Selon le rapport, la relation sexuelle et affective des femmes qui ont des relations sexuelles avec des femmes et, par conséquent, l’impact sur les infections « est politiques invisibles et invisibles, les consultations et les textes de santé ».

La prévalence globale des MST parmi eux est similaire à qui se produit chez les femmes hétérosexuelles, entre 10 % et 20 %.

Le rapport affirme que « il n’est pas vrai que les femmes lesbiennes sont immunisés contre le VIH », parce que votre risque varie selon leur comportement, « sans excluant, en outre, le fait qu’il y a des facteurs qui peuvent accroître leur vulnérabilité ».

Transmission de ce virus chez les femmes ayant des relations sexuelles avec des femmes est principalement produite, selon le rapport, par le biais de comportements homosexuels pas comme l’utilisation de drogues injectables, de partage des aiguilles et kits d’injection et des relations vaginales sans protection avec des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes ou des hommes qui s’injectent des drogues.

Selon le FELGTB, la transmission sexuelle du VIH semble inhabituelle chez les femmes, bien qu’il existe un risque potentiel de transmission par le sang menstruel et les fluides vaginaux, et il existe des cas documentés de cette.

Cette Fédération appelle à une plus grande participation des universités et centres de recherche à l’étude de la santé sexuelle de ces femmes, ainsi qu’un plus grand engagement et responsabilité dans la promotion et la protection de la santé sexuelle de ce groupe.