Genève, 27 mars (EFE).-la chute du financement du Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme peuvent constituer un « coup fatal » les progrès accompli à ce jour, rapporte aujourd’hui l’organisation humanitaire de médecins sans frontières (MSF).
L’organisation attire l’attention sur le fait que, par exemple, n’avait jamais été si proche de contrôle de l’épidémie de sida, qui est maintenant à gauche dans l’air par la baisse du financement.
Cette situation ont été atteint par la crise dans certains pays donateurs et l’impact sur la crédibilité de l’appropriation illicite en institution découverte des fonds dans les quatre pays africains et dans d’autres mauvaise gestion.
Le résultat plus visible, a été l’annulation du premier tour dixième de soumission des candidatures pour le financement de projets dans le domaine.
Pour MSF, cette décision « menace les progrès historique dans la lutte contre le sida et la tuberculose » en particulier et la possibilité que 15 millions de patients soient traités d’ici à 2015, un engagement pris par le Fonds mondial avec le soutien de donateurs.
Progrès dans la lutte contre le sida a été obtenue par une combinaison d’une volonté politique – traduite en contributions économiques – les progrès de la médecine et de l’élan à la production de médicaments génériques.
Sur le terrain, l’évolution de l’esprit a été radicale avec une décentralisation de plus en plus des soins aux malades, grâce à la participation et de délégation de tâches dans leurs collectivités, permettant aux personnes de plus de bénéficier du traitement, dit MSF.
Temps traiter les personnes infectées par le VIH également éviter la surcharge des structures de santé (limited elle-même) et diminue la transmission de ce virus.
En ce qui concerne les médicaments, avaient accès à meilleurs traitements, tels que le ténofovir-basé, moins toxiques et plus facile à administrer, qui a facilité l’attention quotidienne chez les patients.
Tout cela, selon MSF, est en danger, comme c’est déjà le cas au Malawi, Lesotho et de l’Ouganda, où la mise en oeuvre sous traitement est retardé, tandis que dans « La République démocratique du traitement Congo est rationnée ».
Dans ce dernier pays de 71 millions d’habitants et où l’on estime qu’il y a plus d’un million de personnes infectées par le virus du sida, seulement 2 000 patients ont commencé reçoivent un traitement tout au long de 2011, cinq fois moins que l’année précédente.
, Couverture des médicaments antirétroviraux qui doivent elle reste inférieure à 15 %, a déclaré l’organisation humanitaire.
à l’égard de la tuberculose, MSF a mentionné le cas de la Birmanie, où nous savons qu’il y aura un manque de traitement contre la version multirésistante (à plusieurs médicaments) de la maladie, tandis que 9 300 nouveaux cas sont diagnostiqués chaque année, seulement trois pour cent est traitée.
Avec qu’Outlook, l’ONG a déclaré que le manque de ressources financières au-delà de 2014 mettrait en péril la possibilité que les patients reçoivent des soins. EFE