Saisies affectent la moitié des pharmacies à la fin de l’année.

-les administrations de la santé doivent 2 262 millions d’euros aux 11.323 pharmacies, la moitié du existant

-l’aval de l’État, comme souvent demandé par FEFE, est en train de devenir le meilleur et peut-être la seule solution

-décliner dans les dépenses, le nombre de recettes et, surtout, sur le prix moyen des médicaments exemptées

Madrid Novembre 2011 – une nouvelle baisse de la consommation de drogues dans les données, la carte par défaut dans les pharmacies espagnoles et de quelques commentaires sur l’étude risque de l’Etat providence dans l’administration de médicaments et de propositions pour un modèle efficace ”, la semaine dernière présentée par les entreprises Fédération des Espagnols pharmaceutique (FEFE)compléter l’Observatoire de la drogue dans ce mois-ci.

La situation des valeurs par défaut se déroule dans neuf communautés autonomes présente des caractéristiques très différentes d’autres épisodes qui sont survenus dans le passé, elles ont trait à la conformité avec les niveaux de déficit imposées par l’Union européenne et, par-dessus tout, avec l’absence de restriction de recettes et de crédit d’impôt. Cet observatoire montre l’état de la liquidation de chiffre d’affaires de recettes dans toutes les communautés et les engagements pris par eux avec le ministère de l’économie dans le soi-disant financière économique Plan (FSP). Il s’ensuit qu’il y aura plus que quatre mois par défaut en Castilla La Manche, les îles Baléares et les communauté valencienne et les retards entre un et trois mois en Catalogne, Andalousie, îles Canaries, Cantabrie et La Rioja. La région de Murcie a commencé à payer après un délai de cinq mois, financé par des crédits de pharmaciens propres.

Fin de retards de l’année dépassera les 2 262 millions et affectera les 11.323 pharmacies qui est environ la moitié de celles existantes. Le seul moyen de sortir de cette situation très grave qui peut mener à la pénurie et l’effondrement de la disposition, ainsi qu’affectent la viabilité individuelle des pharmacies et des autres acteurs du secteur, est la garantie de l’État, a exhorté le gouvernement par FEFE, en train de devenir le meilleuret peut-être la seule solution, dans cette crise.

descend des dépenses

d’autre part, la tendance à la baisse des dépenses et le prix moyen des prescriptions continuent il approfondir ce mois-ci. Le nombre de recettes reste stable, quelque chose s’est déjà produit dans le mois précédent.

Les prévisions à court terme, bien qu’ils montrent une croissance des indicateurs ne peut être attribué plus qu’un phénomène occasionnel, c’est pourquoi il n’est pas facile à garder au cours des mois d’octobre et de novembre, mais avec une récupération prévisible ou la stabilisation de la croissance du nombre de recettes.

Mais en septembre, il y a déclin dans tous les CC.AA, produisant des augmentations seulement dans les villes de Ceuta et Melilla. Les communautés avec petites baisses sont des Asturies (- 0,18 %) ; Cantabria (- 1, 88 pour cent) ; Extremadura (- 1,45 %) ; Madrid (- 1,71 %) ; Navarre (- 0,78 %) et le Basque (- 1,87 %). Les communautés avec les plus grandes baisses sont Castilla – La Mancha (- 9,62 %) ; Canaries (- 12,85 %) ; Galice (- 9,28 %) ; Murcia (- 11,37 %) et Valence (- 9,38 %)

Le nombre d’ordonnances a un chiffre d’affaires de 79,0 millions de dollars, soit une baisse de (0,23) % au cours du même mois de l’année précédente, qui était 79,2 millions. dépenses diminue (6.20) % et la prescription moyenne des diminutions des dépenses (- 5,98) %.

Les dépenses de gouttes (8,85) %. ordonnances a augmenté de 2,29 % et prescription moyenne des dépenses diminue 10,89-%.

Le canari présente ce mois-ci la baisse plus importante. Le généralisée dans l’entrée des mois l’ingrédient actif de prescription nous attendons avec impatience pour évaluer l’effet de cette mesure, même si nous jouons qu’elle aura peu d’impact parce que la baisse des prix à un niveau qui ne doit pas être possibles importantes économies pour le système, mais le nouveau libellé des conditions de l’article 85 augmente dans les stocks avec négatif, les conséquences économiques pour l’économie des pharmacies.

Enfin, l’étude commandée par FEFE les risques de l’État providence dans la fourniture de produits pharmaceutique et propositions pour un modèle efficace ” mettra l’accent sur certains des problèmes majeurs de notre modèle de soins de santé. Cette étude propose un ensemble de mesures visant à améliorer l’efficacité des soins pharmaceutiques : intervention pharmaceutique dans les processus de chroniques ; distribution en pharmacie pour les médicaments données dans les hôpitaux pour empêcher son effet de ticket clandestine et limitant la couverture des médicaments destinés aux pathologies mineures. Mesures que pourraient poser un impact positif autour de 4 000 millions de pesetas.