Paris, 10 avr (EFE).-le français de santé publique déficit est tombé à 8 360 milliards de dollars en 2011, comparé à 11 360 milliards de dollars un an plus tôt, annoncé par le directeur de l’Agence de gestion, Frédéric van Roekeghem, qui exclue « réformes brutales » pour permettre l’équilibre financier du système de.

« L’équilibre est à portée de main sans réformes brutales de lancement », a souligné dans une interview publiée aujourd’hui par « Les Echos » Van Roekeghem, en réponse aux employeurs, Medef, dont le président considéré il y a quelques jours que la santé publique est « sur le bord de la faillite » et cette victoire celui qui gagne les élections du printemps, il sera absent une réforme de grande envergure.

Le directeur de l’assurance maladie a reconnu que la protection sociale n’est pas suffisamment financée, mais que « depuis plusieurs années nous contrôlons mieux dépenser ».

Explique ainsi que les coûts de gestion, ce qui représente 5,5 % du budget en 2000 ont diminué leur relative à 3,6 % poids et la force de ces fonctions ont diminué de 85 000 à la fin de 2003 à 72 000 actuellement, grâce surtout à la « dématérialisation » de toute la paperasse, qui, dans de nombreux cas, est faites par internet.

a fait remarquer que les deux principaux candidats à l’élection présidentielle française, le conservateur Nicolas Sarkozy et le socialiste François Hollande, « il existe un consensus clair sur la nécessité de contrôler les dépenses et de maintenir un niveau élevé de protection sociale ».

Sarkozy dans son programme prévoit une augmentation des dépenses de santé de 2,5 % par an si revient à être réélu comme chef de l’Etat, en Hollande, vous voulez % 3.

Dans son mandat se terminant aujourd’hui, le premier a cherché à contrôle de pop obligeant les groupes pharmaceutiques pour réduire le prix des médicaments, ainsi que la renégociation à la baisse avec les médecins ou autres professionnels de la santé, certains de ses tarifs.

Van Roekeghem, a rappelé que le gouvernement a prévu pour cette année encore limiter le déficit de 5,9 milliards d’euros, mais considère que « il est encore trop tôt » pour savoir si elle se conformera car cela dépendra surtout du salaire sur lequel la sécurité sociale des contributions dépendent.

En tout cas, était convaincu que « l’objectif des dépenses doit être respectée à nouveau ». EFE